La trilogie de la mort par Taz Ounet

La première fois que j'ai vu ce triptyque, j'en suis sorti surpris et la tête en vrac, pour la seconde ce n'est pas vraiment le cas (d'où cette note équilibré mais subjective). Je vais donc faire la description de ces trois métrage en prenant en compte mes sentiments durant la visualisation

• The awakening : Tout en noir et blanc, une esthétique de l'image bien maîtrisé nous donne une histoire qui prête plus à la réflexion qu'à un genre de mal-être, un jeune homme en cours, voit tout à coup son entourage s'arrêter, la question est de savoir pourquoi, cette réponse nous est amené lentement, à la manière d'une fin paisible...



• Aftermath : Là c'est différent, l'ambiance est bien plus pesante, tout commence par la vision de deux autopsie, quasiment côte à côte, chacun des médecins exécute sa lugubre tâche, puis c'est l'arrivée d'une femme, l'un des médecins s'occupe seul d'elle, mais rapidement ce dernier laisse place à ses fantasme les plus malsains.

  
  

  C'est dumoins ce que l'on pense, la première fois que j'ai vu ce métrage je me souvient avoir vu une espèce de beauté quant-au fait que ce soit sa femme décédé dans un accident, cette fois je me dis que je suis vraiment cheulou parce qu'il n'y a strictement aucune sensualité, le mec est plus proche du porno hardcore qu'autre chose... Bref déception au second visionnage.




• Genesis : Ici, un homme reproduit une statue de sa femme, mais rapidement, alors que celle-ci s’ébrèche et semble reprendre vie, ce dernier quant-à lui se voit peu se transformer. L'histoire la plus poétique selon moi, celle par laquelle j'ai été encore une fois agréablement surpris.