Je suis femme
Premièrement, le film est inspiré d’une affaire retentissante des années 1950 : celle de Pauline Dubuisson. Mais cette fois ci, Pauline est remplacée par un personnage fictif : celui de Dominique,...
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le 20 oct. 2017
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La Vérité de H-G Clouzot est un grand classique du cinéma français et peut même être considéré comme étant un chef-d'oeuvre. Le scénario est tout à fait remarquable, la façon dont a été agencé ce récit mêlant les scènes de prétoire à des flash-backs refait en quelque sorte l'instruction de l'affaire qui fait le sujet du film. Une affaire d'un crime passionnel, une jeune femme volage qui tue son amant possessif deux êtres qui s'échinent dans un amour voué à l'échec. À travers cette histoire on fait aussi l'exploration des "mauvaises moeurs" ce qui fait le gros de la première partie du script, ou l'accusation dresse le portrait d'une fille facile ce qui avec les mentalités et le conformisme de l'époque feraient d'elle une coupable. La mise en scène de Clouzot est au cordeau, les scènes se déroulant souvent dans des lieux confinés, le noir et blanc utilisé convient bien à la noirceur de cette intrigue. Brigitte Bardot donne probablement dans cette Vérité sa meilleure prestation d'actrice, et cela malgré la tyrannie du metteur en scène, elle est brillamment entourée par un série de grands acteurs tels que P. Meurisse, C. Vanel, S. Frey.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les meilleurs films de 1960 et Les 100 meilleurs films de la décennie 1960-1969 selon Ygor Parizel
Créée
le 22 mai 2020
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Premièrement, le film est inspiré d’une affaire retentissante des années 1950 : celle de Pauline Dubuisson. Mais cette fois ci, Pauline est remplacée par un personnage fictif : celui de Dominique,...
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le 20 oct. 2017
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Henri-Georges Clouzot, à qui l'on doit notamment Le salaire de la peur ou Le Corbeau, aborde la dernière partie de sa carrière et met en scène La Vérité, le procès édifiant d'une femme que tout...
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Autant le dire tout de suite : cette critique ne porte pas sur le film de Clouzot, en tant qu'objet cinématographique. Tout simplement parce qu'il m'est impossible de le considérer en tant que...
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