Albert Bacheret est psychologiquement perturbé après le meurtre de sa fille par des membres d’une société secrète.
Sayoko, une psychiatre japonaise (intrigante et manipulatrice), prétend qu’elle a retrouvé le coupable (l’ancien comptable de la Fondation Minar).
Ensemble, ils décident alors de le kidnapper.
Celui-ci se défend et désigne un autre suspect.
Chaque auteur présumé donne sa version et rejette la responsabilité sur une autre personne (Thibaut Laval désigne Guérin puis ils désignent Christian).
Certaines scène manquent de crédibilité:
Quand ils traînent le sac de couchage dans la forêt, le chasseur n’est pas doué car il rate sa cible à de nombreuses reprises.
Il n’est pas crédible non plus qu’ils sortent de la salle de sport sans se faire remarquer.
L’histoire manque de lisibilité.
Le père endeuillé affirme que c’est un journaliste infiltré dans “Le cercle”, une organisation responsable d’un trafic d’organes d'enfants et filmant des snuff movies.
Mais on découvre que sa femme fait partie de l’organisation.
Ce film nous fait plonger dans le cerveau malade d’Albert qui n’est plus que vengeance, et n'est plus du tout lucide. On a l’impression que son esprit a totalement vrillé.
Dans ce thriller psychologique, très violent, il est question de séquestrations et tortures, de manipulation et de vengeance mais le tout reste confus et ambigu à cause de multiples versions contradictoires des faits.
Où est la vérité ?