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Procès d'intentions
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En route pour le mariage d'un ami, Nasser et son fils adolescent changent de direction pour se rendre au chevet du père mourant du premier. Présenté aux festivals de Karlovy Vary et de Marrakech, le film se caractérise par ses nombreux non-dits, ses ellipses et ses silences mais aussi par l'absence totale de femmes, hautement symbolique, alors qu'un conflit semble miner les relations de Nasser et de son fils rebelle qui sont incapables de communiquer. Presque rien ne se passe durant 75 minutes et le spectateur, faute de clés sur l'évolution de la société saoudienne doit se contenter de se fier à ses impressions fugaces. Avec hélas le sentiment de passer à côté de l'essentiel.
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Créée
le 21 janv. 2020
Critique lue 149 fois
le 28 mai 2023
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