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Happiness Therapy.
Plus ou moins persona non grata à Hollywood et dans les cercles bien-pensants depuis une poignée de dérapages outrageusement médiatisés, le comédien Mel Gibson est une personnalité complexe et...
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Le castor qui donne envie de se caster de la salle (oui ok, facile)
Première partie du film plutôt réussie : quand le castor est là on sourit, voire on rit, on se dit que Jodie Foster va nous servir une analyse psychanalytique du dédoublement de personnalité de Mel Gibson, qui trouve le moyen de se sauver de sa dépression en communiquant dorénavant par le biais d'une marionnette en castor.
Mais non. Et c'est dommage car cette démarche aurait été intéressante.
Au lieu de ça on se retrouve dans un drame typiquement américain à boire la soupe habituelle de moralisme et de leçon de vie. La fin est absolument pathétique.
Si vous êtes déjà conscients que dans la vie c'est mieux d'être entouré que d'être seul, inutile de vous déplacer voir le film, vous aurez gagné 2h dans votre journée et 10€.
Franchement décevant de la part de Jodie Foster, que je prenais pour une intello affranchie de ces poncifs américains.
Mais non. Et c'est dommage car cette démarche aurait été intéressante.
Au lieu de ça on se retrouve dans un drame typiquement américain à boire la soupe habituelle de moralisme et de leçon de vie. La fin est absolument pathétique.
Si vous êtes déjà conscients que dans la vie c'est mieux d'être entouré que d'être seul, inutile de vous déplacer voir le film, vous aurez gagné 2h dans votre journée et 10€.
Franchement décevant de la part de Jodie Foster, que je prenais pour une intello affranchie de ces poncifs américains.
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le 2 juin 2011
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