6
Critique de Le Fakir de Singapour par Torrebenn
Les mystères insondables de l'Orient sont une source intarissable d'inspiration pour la France de 1908. Un monde nouveau s'offre au Cinéma.
Par
le 21 janv. 2017
1 j'aime
Le Fakir de Singapour par Torrebenn
Les mystères insondables de l'Orient sont une source intarissable d'inspiration pour la France de 1908. Un monde nouveau s'offre au Cinéma.
6
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Dans les années 1900, je serais allé les voir au ciné !
Créée
le 21 janv. 2017
Critique lue 61 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Le Fakir de Singapour
6
Le fakir, ce génie ?
On est en 1908 et Méliès fait un bon en arrière de 10 ans, réalisant encore non une fiction mais une mise en scène d'un spectacle de magie. Dans la mise en scène, dans le placement, dans le jeu des...
Par
le 20 nov. 2014
1 j'aime
6
Le fakir de Singapour (1908)
Il s'agit 'un court métrage de 5 minutes. Il n'y a pas d'histoire à proprement parler, c'est plutôt une espèce de spectacle filmé. C'est d'ailleurs ce que Méliès veut montrer : le cinéma est un...
Par
le 8 mars 2014
1 j'aime
Du même critique
6
Critique de La pêche aux poissons rouges par Torrebenn
Bébé barbote et Papa filme la scène avec Tonton.
Par
le 14 janv. 2017
2 j'aime
8
Critique de Une scène au jardin de Roundhay par Torrebenn
Louis Aimé Augustin Le Prince. Le seul réalisateur, dont le nom est plus long à dire, que son film à regarder !
Par
le 14 janv. 2017
2 j'aime
6
Critique de Charlot aime la patronne par Torrebenn
Mais, ce Charlot est un authentique saligaud !
Par
le 22 janv. 2017
1 j'aime
