Festen alpha
Que dire à part évoquer le Prix du Jury 1998 ? Le Garçon qui marchait à reculons dure 37 minutes, bien suffisantes à transmettre les émotions intenses, joie et tristesse, auxquelles nous habituera...
Par
le 29 nov. 2020
1 j'aime
Suspendre le temps, détricoter les mailles du souvenir, apprivoiser l’absence. Ne pas effacer la trace d’un abyssal deuil fraternel.
Un magnifique court métrage. Ce regard d'enfant est d'une gravité, d'une tendresse, d'une telle détresse aussi.
Créée
le 13 sept. 2024
Critique lue 13 fois
Que dire à part évoquer le Prix du Jury 1998 ? Le Garçon qui marchait à reculons dure 37 minutes, bien suffisantes à transmettre les émotions intenses, joie et tristesse, auxquelles nous habituera...
Par
le 29 nov. 2020
1 j'aime
Suspendre le temps, détricoter les mailles du souvenir, apprivoiser l’absence. Ne pas effacer la trace d’un abyssal deuil fraternel. Un magnifique court métrage. Ce regard d'enfant est d'une gravité,...
Par
le 13 sept. 2024
Vivre le passé pour survivre le présent ! Remonter le temps pour ne pas trépasser !
Par
le 23 juin 2019
Deux femmes iraniennes prises dans une menaçante tourmente géopolitique. Sur le tapis, cheveux dénoués, le cri de la liberté. Uchi-mata.Un film en noir et blanc aux allures de thriller. Haletant,...
Par
le 10 sept. 2024
14 j'aime
Entre mensonges, soupçons, faux semblants et manipulation, Soderbergh fait de la table à manger conjugale une mécanique de guerre sophistiquée. Cinq noms figurent sur une liste. Un traitre, une taupe...
Par
le 14 mars 2025
11 j'aime
2
À l’image des territoires intérieurs de la famille et de ses relations complexes, leur maison transmet en héritage, manques et des non-dits, secrets et tragédies. Au fil des générations, entrelaçant...
Par
le 21 août 2025
10 j'aime