Une suite en tous points supérieure à son prédécesseur. Les politesses introductives déjà effectuées, Peter Jackson se lâche et multiplie les grands moments de bravoure avec une générosité rare. L'humour fait mouche tandis que les touches pessimistes creusent leur place, la menace de Sauron et l'addiction de l'Anneau grandissant, accompagnées d'une portée politique pas désagréable. Quant à Smaug, c'est une réussite incontestable qui nous mène à une conclusion superbement frustrante. Bigger, faster, stronger.

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le 11 déc. 2013

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MaximeMichaut

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