Par ces temps de Fukushima ambiants, rien de tel qu’un petit visionnage du Jour d’après première mouture pour se mettre le trouillomètre à zéro. Car presque trente ans après sa sortie, cette fiction de Nicholas Meyer conserve toujours un écho terrifiant. Au départ film choral assez habile, embrassant plusieurs corps de métier (du chirurgien au fermier en passant par le militaire ou l’étudiant), le film se mue vite en quasi-documentaire pour évoquer très frontalement les conséquences à court terme d’une catastrophe nucléaire sur cette population.
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