Plus riche et complexe dans sa construction narrative (deux époques, deux destins contés en parralèle), plus "intellectuel" sans doute dans son ambition de traiter de la contamination corruptrice du pouvoir, moins explosif, cruel et excitant que le premier "Parrain", ce deuxième volet est un grand film sombre et oppressant, une exploration empathique du cancer qui ronge l'Amérique et le monde. Et Pacino y est (une fois encore ?) extraordinaire. [Critique écrite en 2001]

EricDebarnot
9
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le 14 oct. 2014

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Eric BBYoda

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