le 17 oct. 2022
Merci pour le Coppola
Si le premier Parrain était un "film de parole", mélange entre drame intime et film noir, une histoire de pacte familial transmis dans le sang et les génuflexions (grand film, faut-il le préciser),...
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Une suite aussi puissante que l’œuvre originale. Et ce n’était pas une mince affaire.
Le choix de mettre en parallèle l’ascension du jeune Vito Corleone, incarné par un Robert De Niro remarquable, et la lente déchéance morale de Michael (un Al Pacino encore plus impressionnant que dans le premier opus) est d’une audace narrative rare. Cette structure donne au film une dimension tragique et intime, tout en approfondissant le mythe familial initié par Le Parrain.
C’est avant tout l’histoire d’un homme condamné à la solitude, quels que soient ses choix — Et c'est là le véritable drame de cette fresque magistrale. L’une des scènes les plus émouvantes reste d’ailleurs la « soi-disant » réconciliation entre Fredo et Michael lors des funérailles de leur mère, moment déchirant sublimé à la fois par l’interprétation bouleversante de John Cazale, véritable troisième pilier du film, et par la partition poignante de Nino Rota.
3h20 de grand cinéma, intemporel, qui se redécouvre avec le même plaisir à chaque visionnage.
Créée
le 23 oct. 2025
Critique lue 2 fois
le 17 oct. 2022
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