My childhood.
J’ai cette belle sensation que le film ne me quittera jamais, qu’il est déjà bien ancré dans ma mémoire, que je me souviendrai de cette maison, ce village, ce petit garçon pour toujours. J’ai...
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le 21 nov. 2014
35 j'aime
6
C’est un voyage à travers le monde uniquement par le prisme de stations de métro, enseignes de magasins ou restaurants, panneaux publicitaires, cartes postales. Le film s’ouvre Gare Saint-Lazare, un jeune homme (Patrick Jouanné, qu’on retrouve la même année dans Au pan coupé) déambule et laisse vagabonder son regard puis se projette dans des destinations lointaines pour s’évader du chaos urbain parisiens. Le montage y est très vivant, d’une grâce infinie, laissant planer l’ambiguïté du rêve ou du souvenir que déclenchent ces occurrences du quotidien auxquelles on ne prête jamais attention dans d’autres films. En ce sens, et si leur cinéma diffère énormément, je retrouve ce que j’aime tant chez Luc Moullet, l’un étant le versant burlesque, l’autre mélancolique d’une médaille faisant la part belle à la magie quotidienne, d’un visage, d’un lieu, d’un écriteau, d’un mot.
Créée
le 27 août 2025
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J’ai cette belle sensation que le film ne me quittera jamais, qu’il est déjà bien ancré dans ma mémoire, que je me souviendrai de cette maison, ce village, ce petit garçon pour toujours. J’ai...
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le 21 nov. 2014
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Quand Grave est sorti il y a quatre ans, ça m’avait enthousiasmé. Non pas que le film soit parfait, loin de là, mais ça faisait tellement de bien de voir un premier film aussi intense...
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le 24 juil. 2021
34 j'aime
5
Il est certain que ce n’est pas le film qui me fera aimer Star Wars. Je n’ai jamais eu de grande estime pour la saga culte alors quand j’apprends que les deux films sont sortis en même temps en salle...
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le 10 déc. 2013
28 j'aime
8