7
Ceux qui restent
La réussite du film tient dans sa première partie. Incroyable de spontanéité et de fraicheur, elle nous plonge dans le quotidien familial. La relation entre le père et ses trois filles est...
le 3 déc. 2013
13 j'aime
3
Mange ton Flanby et tais-toi
La réalisatrice Hansen-Love a une facilité déconcertante pour passer à côté de ses personnages, mais cette fois, elle ajoute une couche avec l'adaptation d'un fait divers de la rubrique des chiens écrasés au lieu de faire un film sur un portrait psychologique, familial et socioculturel.
Un film très prude. Rares sont les moments qui dépassent l'intérêt tellement l'auteur cherche à camoufler son propos sous des monceaux de banalités et de vagues profondeurs.
Une chose remarquable toutefois : une fois que Canvel est parti et qui laisse dans la mémoire de sa Clémence l'absence, certains éléments anodins deviennent poétiques... mais c'est trop faible ou timide pour ma part.
Un film très prude. Rares sont les moments qui dépassent l'intérêt tellement l'auteur cherche à camoufler son propos sous des monceaux de banalités et de vagues profondeurs.
Une chose remarquable toutefois : une fois que Canvel est parti et qui laisse dans la mémoire de sa Clémence l'absence, certains éléments anodins deviennent poétiques... mais c'est trop faible ou timide pour ma part.
2
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé.
Créée
le 20 nov. 2012
Critique lue 653 fois
4 j'aime
5 commentaires
D'autres avis sur Le Père de mes enfants
4
Critique de Le Père de mes enfants par Patrick Braganti
C'est peut-être parce que Humbert Balsan avait décidé de produire Tout est pardonné que la réalisatrice Mia Hansen-Lǿve s'inspire pour Le Père de mes enfants du destin brisé d'un homme (qu'elle...
le 16 nov. 2012
8 j'aime
5
8
De la chute d'un héros.
" Le père de mes enfants", c'est d'abord l'histoire d'un homme à fond dans la vie, que toute la première partie du film montre détaché, à l'aise, grandiose, passionné, amoureux. Il est aimé partout,...
Par
le 9 mai 2013
8 j'aime
Du même critique
2
Un connard de hippie blanc en liberté
Sur Into the Wild, je risque d'être méchant. Non, en fait, je vais être dur. Parce que j'assume totalement. C'est autant le film que ce qu'en font les admirateurs de ce film qui m'insupporte. Que...
Par
le 27 janv. 2014
66 j'aime
71
7
Achète-moi un conte prêt à raconter
En tant qu'ancien travailleur de Disneyland, je ne suis jamais senti à ma place dans ce milieu. Tout ce que je voulais, c'était travailler en m'évadant. Ce fut le contraire. J'ai perdu mon innocence...
Par
le 26 avr. 2013
60 j'aime
42
9
Leçon cinéphile adressée à tous les faux-culs prétentieux.
L'humour satirique et grotesque dans Robocop est une porte infectieuse pour laisser entrevoir autre chose que du pop corn pour petit garçon, une porte qui laisse un aperçu de cette société tyrannique...
Par
le 10 déc. 2013
49 j'aime
38
