9
Tapi dans l'ombre
Laissé pour mort dans la prison désaffectée d'Alcatraz, trahi par son ami alors qu'il devait récupérer une grosse somme d'argent, Walker se voit proposer une chance de se venger et dans le même temps...
le 13 oct. 2016
21 j'aime
Le point de non retour (1968)
Il s'agit d'un film noir dans lequel Lee Marvin joue le rôle d'un homme trahi qui veut assouvir sa vengeance. Lee Marvin est excellent dans le rôle d'un homme monolithique, très déterminé, sans état d'âme, se comportant comme un robot. Le scénario est basique. L'histoire n'est pas passionnante. Aucun personnage n'est sympathique. Les dialogues sont minimalistes. L'ambiance du film est violente ... il y a beaucoup de morts ... sans que cela n'apporte grand chose ...
Il n'y a pas non plus de réel suspense. Le film est un peu mécanique, il n'y a rien d'inattendu. Un rouleau compresseur ... Reste une mise en scène intéressante avec un rythme soutenu et quelques jolis plans d'un univers froid, déshumanisé. Les éléments architecturaux sont très bien filmés et contribuent à l'ambiance sombre et labyrinthique du film.
Il n'y a pas non plus de réel suspense. Le film est un peu mécanique, il n'y a rien d'inattendu. Un rouleau compresseur ... Reste une mise en scène intéressante avec un rythme soutenu et quelques jolis plans d'un univers froid, déshumanisé. Les éléments architecturaux sont très bien filmés et contribuent à l'ambiance sombre et labyrinthique du film.
6
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Films noirs et 1968
Créée
le 7 mai 2014
Modifiée
le 7 mai 2014
Critique lue 314 fois
D'autres avis sur Le Point de non-retour
8
Walker on the wild side
Adapté du roman de Richard Stark (pseudonyme du romancier Donald E. Westlake ; le même roman donnera, en 1999, le film Payback, de Brian Helgeland, avec Mel Gibson), Le Point de non-retour est le...
Par
le 9 avr. 2016
19 j'aime
10
Critique de Le Point de non-retour par Quantiflex
" Le point de non retour" (1967), qui comme par hasard a un bon titre en Français, ( "Point Blank" veut dire "à bout portant" mais avait déja été pris pour traduire le film de Siegel "The killers",...
Par
le 25 mars 2011
14 j'aime
10
Du même critique
8
Le jour se lève (1939)
Est-ce que j'ai la gueule à faire l'amour avec un souvenir ? Le film démarre par un crime ... Le criminel s'enferme dans son appartement et résiste à la police. La suite du film se compose de...
Par
le 27 mai 2014
21 j'aime
4
9
Europe 51 (1953)
Il s'agit d'un film néoréaliste tourné en noir et blanc. Le film dure presque 2 heures et il est d'une grande intensité. Irène est l'épouse d'un grand industriel, elle est aussi la mère d'un jeune...
Par
le 16 déc. 2014
19 j'aime
10
La dame de Shanghai (1947)
Il s'agit d'un film noir tout à fait spécial. Elsa se fait agresser. Michael intervient et met les agresseurs en fuite. Arthur, l'époux d'Elsa est un célèbre avocat fortuné. Il engage Michael a bord...
Par
le 1 sept. 2014
18 j'aime
6
