Une fois de plus un film dont la légende dépasse les réelles qualités.
Il est indéniable que le film est beau, que le noir et blanc est magnifique et que les plans, cadres sont tous plus inventif les uns que les autres, surtout pour 1957, on notera des jeux de couleur et une interprétation plutôt efficace pour l’époque également.
Sur la métaphore de l’histoire on a assez vite compris que le film était une pierre jetée dans le lac de la vie, de la mort et de la double, triple, quadruple quintuple vision sur la vie, les hommes, la mort, la religion, la peste, la foi et Dieu sont tellement répétés que pour moi, ça en devient assez vite lassant.
Ainsi, le film perd de son efficacité dans son récit, et j’avoue que la fin me laisse un peu pantois sur ces cinq personnages qui trouvent ce qu’ils ne sont pas venus chercher et que le benêt et sa femme qui ne sert pas à grand-chose, continuent à tracer leur chemin.
Je ne comprends pas la réelle notation et dévotion sur ce film.