La Fièvre de l’Or
Il est assez difficile de bien cerner Le trésor de la Sierra Madre, premier film de John Huston en six ans, où il s’inspire du roman éponyme de B. Traven pour nous faire suivre deux aventuriers...
le 2 oct. 2017
40 j'aime
12
Chefs-d'œuvre multi oscariser et oeuvre séminale du cinéma nihiliste qui aura comme descendance The Sorcerer ou Apportez-moi la tête d'Alfredo Garcia donc un des films les plus importants du cinéma américain.
L'histoire de deux gringos paumés au Mexique en 1925 qui vont de petits boulots en petits boulots et mendicité avant de rencontrer un vieux bonhomme qui leur parle de gisement d'or.
A l'époque des grands studios John Huston choisit de faire un film quasi entièrement en décor naturel
Une peinture peu reluisante de la nature humaine ou Humphrey Bogart trouve le meilleur rôle de sa prodigieuse carrière et un Oscar pour Walter le père de John Huston et Oscar pour John aussi ( meilleur réalisateur et meilleur scénario ).
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste mon top 400
Créée
le 20 avr. 2024
Critique lue 9 fois
Il est assez difficile de bien cerner Le trésor de la Sierra Madre, premier film de John Huston en six ans, où il s’inspire du roman éponyme de B. Traven pour nous faire suivre deux aventuriers...
le 2 oct. 2017
40 j'aime
12
Sans trop spoiler (enfin si, quand même un peu malheureusement), ça fait du genre : Bogart à contre emploi, je vois, genre Indiana Jones ?... Un compagnon à la tête banale, ok. Un vieux roublard qui...
Par
le 11 mai 2013
40 j'aime
11
D'un côté, il y a l'Or, celui qui rend fou, qui détruit les hommes, qui détruit leurs coeurs et leurs vies, l'Or qui comme chez Cendrars ruine plus qu'il enrichit, cet Or qui se cache partout dans...
Par
le 7 nov. 2012
33 j'aime
14
Chefs-d'œuvre multi oscariser et oeuvre séminale du cinéma nihiliste qui aura comme descendance The Sorcerer ou Apportez-moi la tête d'Alfredo Garcia donc un des films les plus importants du cinéma...
Par
le 20 avr. 2024
Un film poujadiste ou Bacri endosse le rôle d'un gros con de petit patron.
Par
le 11 janv. 2024
Mon dieu que c'est mauvais,Du cinéma macronisme donc de bourgeois pour les bourgeoisLa métaphore du jeune banlieusard autiste est dégueulasseUn cinéma paternaliste et néo coloniale
Par
le 11 janv. 2024