À chier !
Les premières images montrent des chiottes... symbole involontaire du niveau de cette animation réalisée sans l’accord de Robert Crumb.J’ai des réserves sur l'univers - haschich-sexe-haschich - créé...
Par
le 15 févr. 2025
On sent bien l'opportunisme de ce film qui se repose beaucoup sur le premier opus de Bakshi en s'adaptant plus ou moins bien aux temps qui changent, mais au moins il est le produit de la même inquiétude pour la société. Voilà ce qui tient en un seul morceau ses gags déconnectés les uns des autres qui sont le prétexte à explorer plein de thèmes à la fois.
Fritz est le même - l'écriture s'est probablement faite autour de sa personnalité -, mais n'est plus une création exaltée issue du doux je-m'en-foutisme du Fritz the Cat original. À nous de faire en sorte que son acrimonie saupoudrée sur le monde avec un psychédélisme contrôlé suffise à dissimuler le fait que la production a échappé à une volonté purement créative : son côté documentaire représente bien peu face au contrôle des studios et à leur préoccupation pour le succès commercial. Ce film à sketches un peu décousu n'est donc pas le pire retour qu'on aurait pu imaginer pour Fritz, mais il ne faut pas en attendre les orchestrateurs d'origine.
Créée
le 6 oct. 2021
Critique lue 79 fois
Les premières images montrent des chiottes... symbole involontaire du niveau de cette animation réalisée sans l’accord de Robert Crumb.J’ai des réserves sur l'univers - haschich-sexe-haschich - créé...
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le 15 févr. 2025
On sent bien l'opportunisme de ce film qui se repose beaucoup sur le premier opus de Bakshi en s'adaptant plus ou moins bien aux temps qui changent, mais au moins il est le produit de la même...
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le 6 oct. 2021
Ah purée! Après avoir vu Aladdin 3 à la place du premier, voilà que je commets la même erreur avec Fritz The Cat! C'est râlant! Je précise aussi que je n'ai pas lu la BD (un jour sûrement vu que...
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le 14 oct. 2012
Quand on m’a contacté pour me proposer de voir le film en avant-première, je suis parti avec de gros préjugés : je ne suis pas un grand fan du cinéma japonais, et encore moins de films d’horreur. En...
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le 26 oct. 2018
8 j'aime
(Pour un maximum d'éléments de contexte, voyez ma critique du premier tome.) Liu Cixin signe une ouverture qui a du mal à renouer avec son style, ce qui est le premier signe avant-coureur d'une...
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le 16 juil. 2018
8 j'aime
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Avec ses trois titres ”internationaux”, le premier film non soviétique de Mikhalkov est franco-russe, étant préparé, scénarisé, monté et produit par des Français. On connaissait le réalisateur pour...
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le 31 oct. 2019
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