le 10 févr. 2015
Les évaporés d'Hong Kong
La solitude qui s’immisce dans Hong Kong est sans doute le personnage le plus frappant des Anges Déchus. Sa phosphorescence dans la pénombre. Des coups de feu qui agressent. Des courses à pieds...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
Il doit certainement y avoir un peu de masturbation cinéphile dans cette pluie d’éloges. Il n’y a pas grand chose de profond dans ce film, le tueur a l’épaisseur psychologique d’un papier à cigarettes, sa copine est encore plus creuse, elle est un personnage née du seul fantasme masculin et passe son temps à se masturber en robes aussi inconfortables que sexy, tandis que la caméra explore l’espace entre ses cuisses de loooongues minutes, elle fume beaucoup et caresse des juke-boxes à longueur de soirée, c’est un peu gênant.
Le fou-muet est plus intéressant, il apporte une touche d’humour très poétique et violent mais ne suffit pas à crever l’ennui profond qui finit par s’installer dans ce film qui donne le mal de mer.
Créée
le 6 janv. 2024
Critique lue 43 fois
le 10 févr. 2015
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