le 21 sept. 2023
Les lumières des fragiles
C’est probablement un des critères qui permet de définir la grandeur et la singularité d’un cinéaste que de constater la joie avec laquelle on accueille son nouveau film, qui semble être le même que...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
20 ans en arrière, j'ai découvert l'homme sans passé, forcé que j'étais par le dispositif lycéens au cinéma...
J'ai détesté, j'ai honni, j'ai haï, mais il m'a marqué et ma intéressé contre mon gré : Whaaaaat the fuuuuuu*** ??? Comment c'etait possible un film pareil ?
20 ans plus tard, j'affronte mon passé et vais voir les feuilles mortes.
Et mon être se brise, se scinde en même temps que la réalité.
L'une qui y voit du grand cinéma
L'autre qui y voit un mauvais film
Car qui connais les codes cinematographique ne peux que saluer et s'enthousiasmer de cette destruction méthodique, ce jeu avec les codes du film
Car qui s'en cogne ne peux que s'emmerder grave devant un truc non joué, sur un scénario mille fois vu
Mais c'est aussi des références, des parallèles intelligents avec d'autres réalisateurs!
Mais c'est aussi 1h20 de paluchage de references pour plaire aux cinéphiles...
Mais c'est aussi une économie extrême de mots pour montrer plus que dire !
Mais c'est aussi des dialogues fatiguants par leur artificialité...
Des acteurs qui jouent a ne pas jouer !
Des acteurs qui jouent a ne pas jouer ...
Et cette opposition marche aussi pour le traitement du social, pour l'usage de la musique, pr les parallèles à l'ukraine, pour le scénario, pour le découpage, la photographie...
20 ans plus tard je comprends :
Avec ce genre de film, mon cortex prends son pied, mais mon reptilien est en PLS
Créée
le 28 sept. 2023
Critique lue 49 fois
le 21 sept. 2023
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