23 septembre 2023 : au milieu d'une journée pas facile, je décide d'aller au ciné. Je suis attiré par ce titre : Les feuilles mortes, qui rappelle évidemment le poème de Prévert et la chanson de Montand. Je me dis : Pourquoi pas ?
Alors que le style "film d'auteur" n'est au départ pas du tout ma tasse de thé, je me laisse entraîner dans la pauvreté finlandaise, cadre du film. On voit naître une histoire d'amour dans un cadre très cru et a priori peu propice aux sentiments. Tout dans ce long-métrage respire l'étonnement et le dépaysement : on finit par y dénicher la beauté.
Comme le charme ne peut pas être fidèlement décrit, que ce soit celui d'une femme ou d'un film, il vous reste seulement à aller donner sa chance à cette nouvelle du XXIe siècle.
Créée
le 29 sept. 2025
Critique lue 3 fois
C’est probablement un des critères qui permet de définir la grandeur et la singularité d’un cinéaste que de constater la joie avec laquelle on accueille son nouveau film, qui semble être le même que...
le 21 sept. 2023
89 j'aime
4
En 1990, on découvrait avec enthousiasme un Aki Kaurismäki (4 avril 1957, Finlande - ) totalement déjanté, imprévisible et hyper créatif, grâce à son survitaminé Leningrad Cowboys go America...
le 4 sept. 2023
49 j'aime
10
[Chers lecteurs, chères lectrices (enfin, s'il y en a !), je suis obligé de vous faire une confidence embarrassante. En un quart de siècle de cinéphilie, je n'avais jamais vu le moindre film d'Aki...
Par
le 22 sept. 2023
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le 29 sept. 2025
