Une page se ferme...

C'est l'histoire d'un blockbuster qui repousse l'antispécisme plus loin encore que L214. Jamais un morse en fauteuil roulant et une loutre manchote ne m'auront procuré autant d'émotions.

Les gardiens de la galaxie 3 s'avère plus sombre que les autres opus, avec une certaine fascination, voir une obsession visuelle pour la chair et la robotique.

Je dois l’avouer, j’attendais ce film à la fois avec impatience, et en même temps avec hésitation. Il faut dire que la saga des « Gardiens de la Galaxie » est une des meilleures du MCU. Mêlant des personnages drôles, sympathiques, sortant du commun, ainsi qu’une bande son excellente.

Même si j’avais été un peu déçue par le deuxième film, je dois dire qu’on est littéralement pris dans l’histoire avec celui-ci.

Cet opus démarre doucement par la présence d’un Peter en dépression à la suite de la disparition de Gamora dans les évènements du MCU. L’action commence lorsque le groupe est surpris sur Knowhere par l’attaque d’un personnage iconique du l’univers Marvel « Adam Warlock », Rocket est alors blessé et sur le point de mourir. Ses compagnons feront donc tout leur possible pour essayer de le sauver. On remonte alors dans le douloureux passé du petit rongeur, découvrant ainsi avec émotion son parcours, et les expériences atroces qu’il subit avec ses premiers camarades.

Ce film nous donne aussi droit à des passages de combats épiques, mention spéciale au combat de Groot et Peter dans la base du Maitre de l’Evolution sur la Contre-Terre.

En résumé, Les gardiens de la galaxie 3 clôture à merveille la saga de ces héros, laissant entrevoir les différents horizons que prendront nos protagonistes. Je dois dire qu’après quelques films décevant de Marvel, celui-ci remonte tout de même la barre et ça fait plaisir.