Into the blue.
Avec son affiche aquatique montrant une demoiselle perdue au milieu des abysses, la présence de Robert Shaw devant la caméra et la participation de Peter Benchley au scénario, "The deep" à l'air...
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le 13 avr. 2013
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Un couple de touristes batifole lors de leur plonger autour d'une épave. Tout est un jeu, la jeune femme s'amuse à faire peur à son compagnon en se cachant à l’intérieur de la carcasse pour lui attraper le pied. Curieux, les deux jeunes gens fouillent autour de cette masse de ferraille. Le ton joyeux de cette balade va se briser quand la jeune femme va avoir le bras happé par une chose qui la tire fortement vers l'épave. La scène est impressionnante, car la cascadeuse est réellement tirée avec force, ce qui lui fait violemment frapper l'épave. Son compagnon vient à son secours. Une fois à la surface et la frayeur passée, ils regardent le petit butin remonter. De leurs sacs ils sortent des cuillères, une pièce ainsi qu'une ampoule qui ressemble grandement à un flacon médical. S'ils veulent en savoir plus sur leur découverte d'autres vont également être intéressés par cette dernière. Un mystérieux homme va demander le soir même à acheter l'ampoule de verre. Tout commence ici, puisque du simple séjour de vacanciers, le couple va passer à celui de chasseurs de trésors. Le scénario est certes sans réelles surprises, mais le savoir-faire de Peter Yates emballe le tout parfaitement. Non seulement l'homme sait filmer les paysages, mais il sait filmer ses acteurs et surtout son actrice. Jacqueline Bisset est simplement splendide, il faut dire qu'elle plonge en t-shirt, une fois remonté à la surface le t-shirt laisse transparaitre sa poitrine. Il paraît même que c'est cette scène qui a donné l'idée du concours de t-shirt mouillé. Le cinéma ça donne parfois des idées de génie. Le casting est fort solide puisque l'on retrouve Robert Saw en historien chasseur de trésors, Eli Wallach en vieux marin poivrot et cupide, Nick Nolte en vieux poivrot (à non c'est maintenant ça) en jeune premier à l’allure svelte et bronzée. On oubli pas de servir quelques bonnes répliques comme lorsque que Robert Shaw parle de la bibliothécaire dont il demande si elle laisse toujours pousser sa moustache. L'aventure est là pendant les 2 heures que dure le film. C'est un très bon spectacle qu'offre à voir Peter Yates. Il ne faut pas oublier la musique de John Barry qui vient épauler également tout ça avec efficacité et classe. Les grands fonds remplis parfaitement sa mission de divertissement.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Il dessine drôlement bien le héros du film dis donc. et Les meilleurs films avec Robert Shaw
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le 22 juin 2023
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