le 28 juin 2018
On baille et on s'endort...
S'il y a des films qui agacent, les lavandières n'agacent pas, elles indifférent. Au bout d'e 30 minutes, le film piétine au pas d'une intrigue d'une pauvreté inouïe, on baille et on s'endort,...
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Il s'agit d'une comédie filmée en couleur. Le scénario est très superficiel et on a du mal à se passionner pour cette intrigue simpliste. Deux agences de publicité sont en concurrence pour décrocher un gros contrat publicitaire concernant une machine à laver portative. C'est le premier qui trouvera la lavandière portugaise parfaite qui décrochera le contrat ... Hélène et Jean François sont les deux publicitaires rivaux et ils se font des coups tordus afin d'être le premier à trouver la perle rare. La tonalité du film est très légère. Hélène et Jean François sont à la fois amis et concurrents. Jean François est très dragueur et il est tout le temps dans la séduction avec les femmes. Il leur raconte ce qu'elles ont envie d'entendre afin d'obtenir d'elles ce qu'il veut. Le film se veut humoristique mais la plupart des gags tombent à plat. Le film est rythmé avec la traversée du Portugal qui nous offre quelques jolies cartes postales de ce beau pays. La mise en scène utilise bien quelques sites à l'époque pas trop touristiques. La scène de la pêche est vraiment belle avec la remontée des filets sur la plage. L'interprétation est assez bonne, sans plus avec Jean Claude Pascal le séducteur dans le rôle de Jean François. Anne Vernon interprète Catherine sa rivale. Il y a aussi Darry Cowl qui interprète un publicitaire complètement farfelu mais son rôle est limité. Jean Marie Proslier est également présent dans un rôle d'assistant photos.
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Créée
le 16 déc. 2015
Critique lue 507 fois
le 28 juin 2018
S'il y a des films qui agacent, les lavandières n'agacent pas, elles indifférent. Au bout d'e 30 minutes, le film piétine au pas d'une intrigue d'une pauvreté inouïe, on baille et on s'endort,...
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