10
Big City Lights
Il est facile de réduire ce City Lights à sa bouleversante scène finale. Elle le vaut bien cependant tant elle se fait la synthèse de ce que le cinéma muet a de meilleur. L’absence de parole est...
Par
le 3 avr. 2014
68 j'aime
13
les lumières de la ville
ous montre ce qu'est le vrai cinéma: pour moi c'est ça. Du rire, de la romance, de la pitié, du bonheur, tout est ressenti dans ce film. Les acteurs sont excellent (Charlot joue aussi bien que d'habitude) mais j'ai trouvé les dialogues un peu ennuyeux (humour).
On est bouleversés par l'amour que porte Chaplin à cette femme, qui ne le voit pas et qui finit par ne plus le reconnaitre, avant qu'enfin il dévoile qui il est avec son sourire innocent et drôle.
Ce film nous montre que l'argent pourra nous mener à beaucoup de choses mais pas à l'amour propre, ce que finit par comprendre Chaplin.
On est bouleversés par l'amour que porte Chaplin à cette femme, qui ne le voit pas et qui finit par ne plus le reconnaitre, avant qu'enfin il dévoile qui il est avec son sourire innocent et drôle.
Ce film nous montre que l'argent pourra nous mener à beaucoup de choses mais pas à l'amour propre, ce que finit par comprendre Chaplin.
9
Écrit par
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Les meilleurs film de Chaplin, top [∞], Les plus belles claques esthétiques, Mes réalisateurs préférés et Les films qui rendent heureux
Créée
le 8 déc. 2013
Critique lue 571 fois
2 j'aime
2 commentaires
D'autres avis sur Les Lumières de la ville
10
Il y a un avant et un après City Lights…
Dire « ce film a changé ma vie », ça peut sembler banal, un brin exagéré…Mais dans mon cas, le premier visionnage de City Lights fut la cause première d’une véritable révolution. Celle-ci eu lieu il...
le 12 avr. 2015
40 j'aime
11
9
L'amour rend aveugle
534 jours de tournage avec un record de 342 prises pour la scène où l'aveugle prend Charlot pour un homme riche, voilà ce que représente d'abord Les Lumières de la Ville, ce fut un très lourd...
le 25 avr. 2014
24 j'aime
3
Du même critique
7
Quand les super-héros philosophent
Adapté de mon blog ;) [après relecture, je remarque que la plupart de mes avis sont très tranchés. Ne vous affollez pas, et ne prenez pas tout ce que je dis pour vrai. D'ailleurs n'écoutez pas trop...
le 26 avr. 2015
9 j'aime
14
10
Critique de Transmetropolitan (1997 - 2002) par jeunecinéphile
Au milieu des années 40 naissent les premiers comics chez Marvel et DC comics. C'est un genre fantastique, destiné à un public assez jeune. Au milieu des années 80 se développent de nouvelles séries...
le 7 juin 2015
9 j'aime
8
Un portrait touchant de la Chine moderne
A touch of Sin, c'est comme une bombe à retardement. On attend, la tension monte, puis tout explose d'un seul coup. C'est l'histoire de 4 destins tragiques et non tracés qui sont totalement...
le 15 janv. 2014
9 j'aime
