Suite de "Saludos amigos" dont on ne ressort que Donald et José Carioca : "The three Caballeros" mettant en valeur aussi l’Amérique latine puisqu’on y voit Donald recevoir des cadeaux de ses amis habitant là bas. De nouveau, c’est un film à sketchs. Le début avec des petits gags de Donald et l’aventure d’un pingouin est vraiment top, le film faisant arriver d’autres personnages et se mettant à incruster sur la même image séquences réelles et animées, ce qui paraît banal aujourd’hui, était plutôt impressionnant pour l’époque (1944) même si les effets ne sont toujours pas très subtils.
Le soucis c’est aussi cela, le film part dans le n’importe quoi, à partir du passage de Baia, c’est saoulant, c’est n’importe quoi, Donald est montré comme un obsédé sexuel et le film s’éternise : le final ne veut absolument rien dire. Une heure huit que j’ai trouvé vraiment très longue.