le 29 mars 2011
Eloge du toc
L'usage d'un mythe urbain riche de potentialités se transforme entre les mains de Neil burger en un divertissement tape-à-l'œil, facile et creux. Ecrivain sans le sou, tirant sa flemme de gamineries...
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Le seul film où je suis parvenu à dormir dans une salle de cinéma...ils auraient peut-être dû injecter le même produit aux spectateurs.
Créée
le 15 mars 2025
Critique lue 6 fois
le 29 mars 2011
L'usage d'un mythe urbain riche de potentialités se transforme entre les mains de Neil burger en un divertissement tape-à-l'œil, facile et creux. Ecrivain sans le sou, tirant sa flemme de gamineries...
le 14 avr. 2011
Limitless nous montre la vie minable d'un loser ex-drogué qui s'accroche aux pieds des gens et est tellement introverti et a tant les idées brouillées que même dialoguer lui semble compliquer . Le...
le 14 nov. 2011
C'est pas fin, clipesque déjà périmé (les zooms fractals mouhou), bourré de raccourcis en mousse avec voix off omniprésente, frimeur, plein de cratères allègrement enjambés, De Niro aurait pu jouer...
le 15 mars 2025
Le seul film où je suis parvenu à dormir dans une salle de cinéma...ils auraient peut-être dû injecter le même produit aux spectateurs.
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