Escape from là
Des années, 1996 en fait..., que je n'avais pas vu ce très mauvais souvenir effacé à jamais de ma mémoire sans véritable succès puisque l'image du surf sur Tsunami et des deltaplanes armés...
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le 10 juil. 2013
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Si l'on sait lire le second degré dans ce faux nanar, on y comprendra enfin d'une façon aussi claire qu'un coup de poing en pleine tronche que John Carpenter est un cinéaste politique (notamment lors de son introduction et de final).
Certainement pas le plus fin de ses films, on pourra tout aussi bien voir ce Los Angeles 2013 comme une série Z n'ayant jamais peur du ridicule, accumulant (et parfois ennuyant) avec malice les scènes plus improbables et incohérentes possibles, le tout dans un feu d'artifice d'interprétations grotesques et de punchlines balourdes, et une débauche d'effets spéciaux ratés (ahhh la tentation d'incrustations d'images numériques ...).
Débile, fin derrière sa grossièreté, drôle et résolument absurde.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Les meilleurs films avec Steve Buscemi, Les meilleurs films avec Kurt Russell, Les meilleurs films de John Carpenter, Journal Cinéphile de 2020 et Les meilleurs films avec Pam Grier
Créée
le 31 déc. 2020
Critique lue 78 fois
Des années, 1996 en fait..., que je n'avais pas vu ce très mauvais souvenir effacé à jamais de ma mémoire sans véritable succès puisque l'image du surf sur Tsunami et des deltaplanes armés...
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le 10 juil. 2013
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Génial, tout simplement génial ! Que faire quand vos producteurs vous demande de refaire un de vos meilleurs succès et rien d'autre pour des raisons purement financières ? Les envoyer chier ? Psss ...
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le 13 janv. 2011
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C'était en 1996, quand Carpenter filmait son personnage/avatar faisant un bras d'honneur au drapeau américain et poussant l'action de celui ci à son paroxysme que l'on qualifierait aujourd'hui de...
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