Pas mal de second degré, un Matthew McConaughey priceless en tenancier de boite de strip, un scénario qui évite (dans sa première partie en tout cas) les sempiternels jugements des personnages sur leur profession et leur vie: Magic Mike aurait pu tenir toutes ses promesses si le film ne basculait pas d'un seul coup dans une pauvre remise en question du personnage (Channing Tatum, qui est pas trop mauvais par ailleurs) et dans des sous intrigues à deux balles (une arnaque, l'éternel happy end hollywoodien) qui plombent la deuxième partie et du coup l'ensemble du nouvel opus de Soderbergh