Ça démarrait sous les meilleurs hospices avec Laurel et Hardy en professeurs de dance travestis. (Etonnant de voir Hardy danser avec une certaine grâce malgré sa corpulence) Mais cet aspect du scénario est trop vite évacué au profit d'une affaire d'escroquerie très mal racontée et nous offrant une collection de gags lourds voire éculés (les peaux de bananes et les briques en cartons, ça va bien cinq minutes) La fin est toutefois amusante malgré sa réalisation approximative. Au titre des curiosités on notera les présences de Robert Mitchum en petite frappe et de Margaret Dumont, la souffre-douleur des Marx Brothers. Un Laurel et Hardy bien moyen, qui ne tient pas ses promesses et qui trahit son titre !