Dans Marionnette, on est sur du surnaturel avec un pauvre qui voit l'avenir et qui dessine finalement les futurs scènes de n'importe quelle personne. En choisissant Marianne Winter, une psychiatre qui s'occupe de l'enfant, le petit garçon créé des scénarios qui vont bouleverser sa vie. Absolument pas fan du genre par le traitement visuel pas terrible et par une mise en scène du récit qui pose question : pourquoi attendre 1h pour que la psychiatre comprenne que l'enfant est maléfique. Je n'ai jamais été trop fan de ce type de thriller (d'enquête et de psychanalyse) donc Marionnette n'a pas reçu mes suffrages.
Et puis, parlons de la fin qui est un fail total - où Marianne tue l'enfant et se prend la vie pour ensuite retrouver une vie habituelle sans la mort de son mari d'un accident de voiture (oui, car le début du scénario, c'est ça).
Et si tout simplement tout cela n'était qu'un rêve puisque la femme pense qu'il s'agissait d'un rêve mais qu'elle a peut-être vécu. Et c'est bien ça qu'il va vraiment se passer !
Le petit enfant est recontacté par la psychiatre malgré la seconde chance offerte par ce dernier.