Voilà un moment que je n'ai pas pris ma plume, ou du moins mon clavier pour rédiger quelques mots à propos d'une œuvre et généralement, je ne le fais que pour des œuvres qui m'inspirent soir et matin, mais aujourd'hui, nous allons faire une entorse à mes principes, dont ces derniers, ont justement étaient déchiqueté par une infâme tronçonneuse et puis bon, c'est un petit peu rigolo. Voici donc Massacre à la tronçonneuse, suite reboot (encore) du classique de Tobe Hooper qu'es... massacre à la tronçonneuse (on va pas se plaindre de la non-inspiration pour le nom, j'ai beaucoup aimé les trois films nommé "Halloween").
Tout commence avec un flashback des précédents évènements comme montré dans le premier film. En gros, Sally part avec copain en vacances, ils rencontrent des rednecks, ça tourne mal, elle s'en sort, fin.
De nos jours (donc 50 plus tard), des hipsters si attachants que sur les deux sœurs et personnages principaux je me mélangeais leurs noms, et ce, jusqu'à la fin du film, partent s'installer dans la ville de Harlow, a présent désaffectée, afin d'y bâtir leur petit commerce et qui sait? Un monde meilleur. Pas de bol, une vieille femme dit qu'elle habite ici et suite à une engueulade, la mémé cane et son fiston, Leatherface (je sais qu'il s'appelle Bubba, mais personne ne l'appelle ainsi dans le film), décide qu'il ne sera pas le dindon de la farce et part voler dans les plumes de ces poussins tout fraichement sortis du nid car il estime qu'ils sont responsables de la mort de sa mère.
Alors, par où commencer? Déjà, on peut dire qu'il y à deux ou trois idées de réalisation plutôt sympa. Voilà.
Ensuite, Melody, une des deux sœurs dont leur backstory ne sera que survolé, s'arrête dans un magasin et voit des articles de journaux de l'époque et nous y apprenons que Sally, qui pointera le bout de son groin qu'en fin de film, à donc bien sûr survécu, MAIS qu'elle est également devenue ranger et qu'elle cherche Leatherface depuis tout ce temps... un gars deux deux mètres quasi muets de 100 kilo dont on sait pertinemment où lui et sa famille vivent... déjà à ce niveau-là mes dents ont grincé au point que je me suis rongé la gencive, mais continuons.
Nous pouvons également trouver ce film certes, ringard (depuis le dernier Jeunet, Netflix va finir par m'habituer à ce genre de chose si ce n'est pas déjà le cas), mais en plus, il est profondément réac (on rejoint donc big bug...moi qui ne pensais pas faire une double critique...) avec des jeunes foncièrement stupides et fermés d'esprit qui préfèrent filmé un mec recouvert de sang qui en veut clairement à leur vie que je sais pas, tenté de s'enfuir? Vous savez, les vieux qui gère probablement cette plateforme, les jeunes aussi ont un cerveau et des réflexes de survie basique, sisi!
Dans le même genre de situation, il y a une blonde dans l'équipe des jeunes (que nous appellerons la blonde par convenance) qui survit miraculeuse à un accident provoqué par notre consanguin préféré. En le voyant s'éloigner, au lieu de tenté de s'enfuir discrètement et rapidement, la blonde met des plombs à vérifier s’il n'est pas dans les parages et alors, gros jean comme devant, le voilà qui rapplique à toute berzingue pour l'attraper de l'autre côté du véhicule et donc, aussi tôt réfléchis, aussi tôt fait, il l'occit à l'aide d'un couteau.
À un moment, tu as Sally qui arrive à la rescousse...voilà.
En un mot comme en cent, dans le genre reboot d'une franchise d'horreur aux films plus ou moins réussi, Halloween(2018) et ce film ne boxent clairement pas dans la même catégorie. L'un d'eux a su parfaitement réactualiser une formule tout en lui rendant hommage et l'autre parait être sorti 20 ans trop tard.
... Ah oui, petit funfact, le gars qui joue Leatherface est le même qui jouait le flic débile de Wrong et Wrong Cops. Une fois qu'on sait ça, ça fait une association d'image asser drôle.
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... Ah oui, et Big Bug était un enfer, pire que si vous passeriez une semaine chez les Sawyer, n'y allez pas!