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Critique de May I Kill U? par chri5
Vu au BiFFF 2013, j'ai vraiment apprécié ce film. Humour british au rdz-vs. Je rejoins la critique de charlesdavray
Par
le 12 avr. 2013
May I Kill U? par charlesdavray
Le vélo commence à regagner ses galons au cinéma, ici notre héros l'utilise en permanence dans ses fonctions de Bobby.
Ce policier londonien débute une carrière de Judge Dredd dans sa communauté, les méchants qui le consentent passent de vie à trépas grâce à son intervention magnanime.
Et ses abonnés aiment.
Le réalisateur, qui a déjà plusieurs réussites à son palmarès, continue de nous divertir avec ce personnage bien de son époque, qui maîtrise les médias de communications modernes pour faire passer son message à ses contemporains. Bonne animation des SMS et autres Tweets en temps réel.
La trame narrative se déroule autour de flash backs, qui nous amènent finalement au happy end bien mérité, quoique absolument amoral. Cet état d'esprit percole au travers de tout le film, l'image de la justice en ressort bien écornée.
Comme l'image de la mère, possessive à souhait.
Unicité de temps et de lieu, Londres 2012. Un bon moment à passer entre amis.
Ce policier londonien débute une carrière de Judge Dredd dans sa communauté, les méchants qui le consentent passent de vie à trépas grâce à son intervention magnanime.
Et ses abonnés aiment.
Le réalisateur, qui a déjà plusieurs réussites à son palmarès, continue de nous divertir avec ce personnage bien de son époque, qui maîtrise les médias de communications modernes pour faire passer son message à ses contemporains. Bonne animation des SMS et autres Tweets en temps réel.
La trame narrative se déroule autour de flash backs, qui nous amènent finalement au happy end bien mérité, quoique absolument amoral. Cet état d'esprit percole au travers de tout le film, l'image de la justice en ressort bien écornée.
Comme l'image de la mère, possessive à souhait.
Unicité de temps et de lieu, Londres 2012. Un bon moment à passer entre amis.
8
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le 11 avr. 2013
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