Deux parties. L'une exprimant la médiocrité de la race humaine, sa capacité à se détruire elle même, à détruire les relations entre semblables pour des raisons futile. L'autre montre là ce qu'on appelle l'Humanité. Ce comportement oublié par la société, qui consiste à nous réunir, à être ensemble. Sauf que l'Homme n'est capable d'atteindre ce stade que en étant près de la mort, car c'est seulement quand ça fini presque qu'on se rend compte de l'utilité d'un objet. Cela marche pour tout, y compris pour la vie. Ce n'est que près de la fin qu'on se rend compte que tout ce qui nous entoure est finalement sans utilité, car à la fin, nous sommes tous réellement semblables.
Voilà pour le fond. Je viens de me rendre compte que maintenant je regarde beaucoup plus le fond que la forme. Au niveau de la photographie, c'est magnifique, y a pas à dire, de sublimes plans et jeux de lumières, remarquable sur ce point. Niveau casting c'est plutôt fort aussi. Les acteurs jouent bien. Seul petit bémol c'est des fois un peu trop lent, j'avais tendance à regarder mon lecteur pour voir ou j'en étais. Mais bon, c'est pas non plus une grosse tâche.