Faire parler une septuagenaire espagnole sur sa sexualité passée est une entreprise audacieuse !
L'amener à s'en fabriquer une nouvelle une vraie trouvaille . Bravo !
Evidemment l'opinion de l'homme n'est pas le sujet puisque c'est lui le coupable... Et la question des rôles du franquisme, de l'église et du liberalisme ne saurait s'immiscer la dedans. Haro sur l'espagnol, vive la femme libérée, à l'attaque les vieilles !
Visiblement la belette inspirée qui a bricolé ce film a pas tout lu sur les brigades internationales et le mouvement anarchiste. S'en fout complètement, veut bouffer de l'homme . Quel pauvre parti pris.