Deuxième adaptation de cet imposteur de Kenneth Branagh , cette version est meilleure que le film précédent (l Orient Express).
Ça démarre avec une improbable intro super dramatique pendant la première guerre mondiale où on découvre pourquoi le héros en vient à avoir … une moustache ! Moustache origins , on avait jamais vu ça.
S’ensuit l’histoire qu’on connaît filmé avec glamour sur fond vert. Visiblement personne ne s’est rendu en Égypte mais plutôt au chaud dans un studio de L.A. Pour l’immersion on repassera. On peut dès lors se demander pourquoi les productions attribuent des budgets démesurés à des histoires qui n’en ont absolument pas besoin.
A noter des ajouts aux tendances woke désormais inévitables dans le cinéma hollywoodiens contemporain. Certaines idées bonnes mais d’autres inclus au chausse pied dans le scénariox Ça commence à se voir beaucoup et c’est très pénible.