Merci Jeremy Jahns, car j'avoue que je n'avais pas saisi l'énorme allégorie qui repose au cœur du film, et qui donne à voir cette histoire de "home invasion", tout d'abord malsaine puis démente, sous un jour complètement nouveau.
Cela n'a pourtant en rien gâché mon plaisir de visionnage ; Darren Aronofsky est l'un des rares réalisateurs dont j'ai vu et apprécié toute la filmographie (depuis "Pi", et en passant par "Requiem for a Dream", "The Fountain", etc.), et son "mother!", comme ses autres films, ne laisse pas indifférent.