Comparaison Gastronomique n° 6 : La cuisine déconstructive


Détruire pour reconstruire OU Du cycle sans fin de la vie et de la mort



Pour cette sixième comparaison culinaire, et toujours en rapport avec l'œuvre traité j'ai choisi la cuisine déconstructive ou déconstruite si vous préférer le bon français à la traduction littérale.
La cuisine déconstructive ( on s'en tiendra à cette traduction littérale tout du long de la critique ) à pris un essor depuis 4-5 an dans les restaurant huppé. En plus de nous faire redécouvrir certains plats et surtout certains dessert très classique comme la tarte au citron meringué, le fraisier, le mille feuille... la cuisine déconstructive ce s'arrête pas là et change radicalement la composition des dits plats.
On peut par exemple trouver des tarte au citron meringué ou le citron est remplacé par une autre variété, par exemple le Yuzu japonais, un citron dont l'acidité est moindre et avec un arrière goût sucré dû à son hybridation avec la mandarine.
De plus j'ajouterait en dernier lieu le fait que la seule limite de la cuisine déconstructive, ce sont notre imagination et peut être aussi le respect de la recette de base. On ne va pas faire un roti de porc à la place d'un canard laqué par exemple, ça semble tomber sous le sens mais je le rappelle quand même.
Par contre rien n'interdit de faire un mille feuilles en disposant tout les "étages" les un à coté des autres et en mettant une crème avec différentes saveur pour chaque.
J'espère avoir fait passer l'idée correctement maintenant passons à la critique.


Comme à mon habitude je vais relier ça au film. Ma compréhension du film étant assez approximative et ce dernier étant très symbolique voire même allégorique, cette critique n'est pas à prendre au pied de la lettre et pourra s'éloigner grandement de ce que vous en aurez retiré.


Tout d'abord la cuisine déconstructive à besoin d'un support, une assiette fera l'affaire, et ici cette assiette c'est les contours du film, pensé comme une boucle sans fin.
En effet la scène d'introduction fait écho à la scène de fermeture, qui sont identiques quasiment en tout point, sauf pour l'actrice, nous reviendrons sur ce détail plus tard.


Dans l'assiette tout est déconstruit vous l'aviez compris mais qu'est-ce que ça implique au niveau de Mother ? On va prendre l'exemple du mille feuille cité plus haut, qui collera parfaitement ici de par sa structure chaque étage représentera un aspect du film, associé à un goût, ici un sujet traité.
Le mille feuilles à souvent 4 étages, ici il en aura 6.


Premier étage : Pour commencer, tout ce qui touche à la technique. Ici le cadrage est resserré, avec une focale courte et en plus de ça des gros plans insistant sur Jennifer Lawrence donnant l'impression d'une bulle, d'un cocon protecteur ceci étant largement dû aussi à une habille utilisation de l'éclairage. Là première demi-heure du film est très claire, on à une impression de calme, de volupté et de confort même. Elle s'occupe de la maison, elle embrasse son mari, tout va bien. On notera aussi une utilisation du son assez audacieuse, le son du robinet, le vent, le simple fait d'étaler de l'enduit sur le mur, ces petits sons amplifiés renvoie encore au sentiment global de sécurité. On notera aussi tout au long du film de très rares cut, oui, le film est rempli de longs plans séquences, de travelling (très peu mais assez impressionnant ). C'est pas juste fait au hasard, le film renforce ainsi l'idée que l'on suit une route, que le film veut nous amener quelque part, on est déjà pris dans la boucle infernale, sans même y être préparé.
Le goût : Ici on pourrait mettre une crème à la vanille sur cet étage, tout commence avec quelque chose de doux, de confortable. On prend le spectateur par la main, on lui présente un cadre de vie idéal, peut être un peu fantasmé, rêvé même mais tout de même idéal.
La couleur vanille est d'ailleurs présente dans la première demi heure du film, à travers ces nombreux plans montrant la maison, ces murs, son sol, son plafond, ses meubles. Le film veut ici nous raconter une vie banale, simple mais heureuse.


Deuxième étage : L'acting. On sent une évolution dans la psyché de la femme, et c'est rendu à merveille par Jennifer Lawrence qui livre une performance remarquable. Elle arrive à nous happer dans sa conscience, qui se retranscrit tout d'abord par tout les gros plans sur son visage, ses expressions faciales, ses cris de terreur et ses pleurs. On sent la détresse, avec parfois des aller retour, un léger tremblement de la caméra, discret mais présent, qui rend compte de la détresse grandissante et finalement la terreur. Du coté du mari on voit grossir un égo sur-dimensionné, et à mesure que ce dernier grossit la distance entre eux fait de même, puis de la même manière cela finira dans les extrêmes, les rares plans ou on le voit il est à demi dans l'ombre, et plus particulièrement de dos, comme si il tournait le dos au souffrance de sa femme pour assouvir son égo, entretenir son propre confort à mesure que celui de sa femme s'amenuise, puis disparait. Son mari à rejoint les étranger qui envahisse la demeure.
Là aussi Javier Bardem impose une certaine présence à l'écran, ses apparitions sont souvent théâtrales et diamétralement opposés, par moment il apparait comme le messie, d'autres moment comme une colère divine qui s'abat avec fracas, arrivant d'en dehors du cadre pour plaquer quelqu'un contre un mur, ou encore trônant au centre de la table entouré de ses apôtres, la lumière filtrant sur sa seule personne...
Le goût : ici je vais devoir spoiler quelque peu.


Goût : citron, un goût risqué, qui, si il n'est pas bien dosé finit par devenir écœurant. l'Acting permet de dévoiler une lecture que pas mal de gens ont trouvé aussi : la lecture biblique. Il faut être très attentif au détails, à la composition des plans mais aussi à la psyché des personnages. Par exemple la personne qui arrive au début du film à une côte en moins puis peu de temps après sa femme arrive. on à ici adam et eve dans le paradis ( la maison ). on voit peu de temps après qu'il à vomi un serpent, symbole du péché.
Plus tard comme cité plus haut il y aura un banquet qui fait évidemment penser à la fameuse scène du repas de Jésus et des 12 apôtres.
Plus tard encore le sacrifice du bébé dont les invités se nourrissent littéralement fait écho à ce sacrifice de jésus, envoyé par dieu pour sauver les hommes.
De plus on sent poindre une certaine touche de fanatisme religieux, traitant par la même occasion d'un sujet actuel. La guerre à la fin et la destruction de la maison renvoyant peut être à gaza, Jérusalem...
Or si l'on suit cette théorie L'homme serait dieu, mais qui est la femme ?
Nous en arrivons au troisième étage.


Troisième étage : L'histoire. Si l'on s'en tient à l'histoire de la femme seulement, et que l'on remet tout de son point de vue on voit tout autre chose.


Après que les personnes débarquent elle assiste à un meurtre fratricide, on détruit sa maison, qu'elle à eu du mal à remettre en état après un incendie. On décompose petit à petit sa zone de confort, et petit à petit sa sécurité. La folie semble s'emparer des personnes présente, puis elle assiste à un enterrement dans sa demeure, une fête, une guerre, elle voit son enfant mourir, d'ailleurs on entend ici un bruit sec qui nous apprend ceci, tout l'inverse des bruits au début du film. Puis elle se fait tabasser pour vouloir sauver son fils, son mari n'arrivant que trop tard, ne comprenant que trop tard son erreur.


Si l'on suit l'histoire de l'homme ce sera tout l'inverse : il s'épanouit dans son travail, retrouve l'inspiration, est acclamé par ses fans qui grossissent alors qu'au début même du film il disait que ses livres était peu lu. Il se délecte de sa fortune, de sa chance tandis que celle là même menace son couple.
On sent que pour créer il doit détruire. à chaque fois qu'il réapparait à l'écran, il à détruit quelque chose avant et spécifiquement la confiance que sa femme met en lui. Il est aussi intéressant de voir comment il retrouve l'inspiration pour écrire.


Il couche avec sa femme mais le début ressemble beaucoup à une agression sexuelle, une relation non consenti, bref un viol. Il détruit la dernière barrière de sécurité et étant le premier à agresser physiquement sa femme, ce n'est pas anodin. Ensuite elle répétera souvent " ne me touchez pas " lorsque quelqu'un l'approche trop. Coïncidence ou coup de maître de la part du virtuose Darren Aronofsky ? à vous de voir.


Le goût : Café, une amertume se dégage dans le récit, comme un constat simple et effrayant à la fois : pour créer, il faut détruire. Que ce soit dans l'art, ou l'homme vampirise sa femme, comme le poète s'amuse avec sa muse. La renommée et le succès lui monte à la tête et il perd tout repères. La femme de son coté ressent ça dans son corps déjà, avec les menstruations, ici symbolisé par les trous sanglants dans la maison, apparaissant à intervalles régulier, symbole du cycle destruction/création.


pareillement la naissance et la mort de son fils sont étroitement lié et surtout dans une séquence de temps très courte. Le fils nait et meurt en seulement une dizaine de minutes il me semble.


Le fait que l'espace et le temps soit aussi des éléments du récit n'est pas laissé au hasard. C'est comme si le film nous contait une vie en accéléré, mais surtout nous montrait tout les dangers de cette vie de femme tout ce que j'ai présenté plus haut dans les balises spoiler.


Quatrième étage : La couleur. Celle qui domine tout le long du film c'est le beige de la peau, renvoyant à ce que je disait à l'étage trois, et étant étroitement lié au rouge clair du sang. On notera aussi le noir, l'obscurité, qui vient nuancer ces deux couleurs donnant une impression de mort imminente, ou de vieillesse, une sorte de corruption de la chair flétrie par l'âge. Le film utilise aussi ces deux couleurs pour deux autre entités présente dans le film : elle aussi contradictoire mais complémentaire : la maison et le feu. Encore une fois comme pour la peau et le sang, la maison est rapproché de ce qui peut lui faire du mal et l'on rejoint le cycle de création et de destruction.
Mais là on n'est qu'au début de l'interprétation car le film part plus loin encore dans cette utilisation de la couleur.


La maison, qui est comme la seconde peau de la femme, partage sa couleur de peau. Elle à un coeur rouge qui bat, plein de sang, plein du feu qui pourrait la détruire. Et au fur et à mesure du film, alors que la femme perd tout espoir en la vie et que la mort se propage autour d'elle, ce coeur se noircit, et les cendres apparaissent. Jusqu'au point de non retour ou la maison brûle et ou le cycle de la vie et de la mort se termine, le plus grand cycle de création et de destruction, mettant fin aux autres cycles, menstruation, confort, bébé...


le goût : réglisse. noir, fade, peu de gens apprécient. Ici il représente la douleur de la vie, alors que celle ci nous échappe à travers les années, les rides, le passage du temps. On observe ici la vie se battre avec la mort. On peut même dire que l'homme représente la mort, et la femme la vie. Le feu et les cendres sont la mort, et la maison la vitalité. Ainsi à mesure que le temps passe, la mort essaie de trouver beaucoup plus de moyen de nous toucher, nous avons plus de chance de mourir. Alors on se débat pour rester en vie, pour passer le flambeau à la prochaine génération.


C'est d'ailleurs peut être pour ça que, voyant son enfant mort, la femme se suicide, trop vieille pour en faire à nouveau elle ne supporte pas cela. La vieillesse arrive avec la ménopause et avec l'arrivée de son enfant on ne verra plus de trou dans la maison, signe de la fin de ses menstruation. Le mari, symbole de la mort, aura d'ailleurs été présent à chaque fois que quelqu'un meurt.


Cinquième étage : La symbolique. La symbolique traverse de toute part le film, c'est un fait et j'ai déjà exploré de nombreuses symboliques qui s'entrecoupent. La création, la destruction, la vie et la mort, la religion, la femme. Mais il en est une qui les rassemblent toute : L'image de l'humanité même. Alors oui vouloir mettre tout ça dans un seul film est-ce bien raisonnable ? n'est-ce pas trop ? Darren Aronofsky as-t-il pris la grosse tête, je sais pas mais pour moi cette dernière symbolique prend un sens considérable.
Au début du film, du feu, des cendres puis la maison. Comme je l'avait di précédemment le temps est variable dans ce film. Ici je pense que l'on nous présente les débuts de l'humanité, avec la découverte du feu, qui à tout permis, mais qui à aussi laissé pas mal de cendres sur son chemin. Et si depuis le début l'humanité avait lancé le cycle de création et de destruction en s'émancipant ?


Plus tard il y aura le meurtre, un des premiers vice ou pêché de l'humanité si l'on se réfère encore à la lecture religieuse du film et que l'on recoupe tout. Puis les pays sont envahis, il y à la guerre, le fameux fanatisme religieux, les sacrifices barbares, etc...
On s'était mis d'accord sur qui était l'homme mais pour la femme nous avions dit que ce n'était qu'une femme, mais et si elle rappelait la Terre mère aussi ? elle est après tout spectatrice tout du long sans rien pouvoir faire.
Elle à d'ailleurs peur du feu, comme si elle faisait corps avec la maison, on le voit quand la chaudière s'allume, symbole de l'industrie, de la folie des hommes, c'est d'ailleurs après cet évènement que les intrus arrivent de plus en plus nombreux, comme la surpopulation mondiale.


Goût : piment, fort, désagréable, et chaud. On ressent ça vers la fin du film, rien ne va plus, l'homme court à sa perte, et alors il s'en rend compte trop tard, il à donner son futur en pâture à sa propre folie. Alors la nature se rebelle, et remet les pendules à l'heure. Mais tout est voué à recommencer ?


Sixième étage : Conclusion. Le film parle de beaucoup de choses à la fois, trop peut être ? mais tout en gardant une certaine cohérence dans son chaos. Il parle de la dualité qui compose le monde, à différentes échelles : l'homme et la femme, opposé mais complémentaire, la création artistique et la destruction qui en est la source, la naissance et la mort. Le film présente ainsi une fatalité : nous courrons à notre perte. Mais alors quelle solution à tout cela ?
La réponse était là, sous nos yeux, depuis le début et on ne s'en rend même pas compte, sauf à la fin, lorsque tout mal est fait :


Au début du film on voit jennifer lawrence mourir dans les flammes, mettant fin à sa vie, à son cycle, mais à la fin du film on voit une autre actrice. Sa fille ? une autre femme ? là encore toute les symboliques s'entrecroisent.


Je pense que le film laisse la fin ouverte : est-ce sa mère, sa fille ? quelqu'un d'autre ? Pour ma part je pense que le fait que l'on nous parle de ce cycle tout le temps nous invite à le briser. Arrêter la violence, prendre soin de ce que l'on à sans en vouloir trop, l'ambition et la recherche de la réussite à tout les prix nous privant de l'essentiel. Il faut écouter ceux que l'on aime, écouter notre corps, être attentif à ce qui nous entoure et à ce que l'on blesse, la maison ici. Par exemple il y à un plan très étrange en plein milieu du film qui sort le spectateur du récit un court instant : on voit la maison au milieu d'une bulle ou la forêt est verte, entourée de noir.


Mais il y à aussi et surtout encore quelque chose qui relie tout ceci à nouveau et dont l'humanité commence cruellement à manquer, apportant la dualité moteur, celle qui fait fonctionner toute les autres et définit l'équilibre du monde :


L'amour contre la Haine.


C'est d'ailleurs très intéressant de voir que le mari chéri cette petite pierre, sorti des cendres du coeur de sa femme à la fin du film. Là encore j'interprète à ma façon mais si l'on conçoit cette dernière dualité, alors la femme, qui semble passer inaperçue, n'est qu'une réminiscence de l'homme, un souvenir et durant tout le film elle est déjà morte et il se remémore sa vie avec elle. Lorsque ce coeur se brise, au premier tiers du film, il penche dans la haine. Il crie, il frappe, il hurle, il pleure au final et ainsi il passe par les fameuses étapes du deuil.
Certaines scènes font écho à cette interprétation. Les personnes arrivant petit à petit chez lui, comme si il s'ouvrait petit à petit au monde extérieur, après le décès, puis les obsèques, suivi de la fête, comme pour se noyer dans l'alcool.
Le fait qu'il lui tourne le dos très souvent, comme pour signifier qu'elle est morte, et qu'il doit vivre, aller de l'avant.
Mais il ne l'oublie pas et revient par moment la voir, se replongeant à nouveau dans la douleur des souvenirs.
Puis finalement ayant perdu son fils, il se libère lui aussi, par le suicide peut être, en tout cas sûrement avec la mort ou l'oubli. Quel que soit la solution tout s'efface et se perd dans les cendres.


En conclusion ce film pose pas mal de question sur notre société, l'humanité et notre vie devenu bien sombre. Il faut aimer, chérir ce que l'on aime, pour empêcher la haine de se répandre. Il faut prendre soin de notre monde et l'aimer, plus que jamais.
Tel le mille feuilles déconstruit, ce film nous donne plusieurs parties, se renvoyant les unes aux autres, et nous propose de faire notre découverte, de mêler les saveurs entre elle, de faire des mélanges, des essais, et offre une relecture quasi infini de l'œuvre. Là ou il manque de cohérence d'ensemble il gagne en clarté, ses contradiction ne font que le renforcer au final, étant le reflet ultime du sujet dont il traite, l'œuvre devient support à réflexion. Et ça c'est beau. Et ça, c'est ce que je recherche aujourd'hui et depuis longtemps déjà dans le cinéma.

Spiralis
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le 16 févr. 2019

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