le 7 août 2012
Meyer que prévu
De prime abord, Motor psycho semble être un film d'exploitation de base. Des motos, du sexe et de la violence, voilà ce qu'il semble nous promettre. Le tout tourné avec un budget des plus modeste...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
Critiques
le 7 août 2012
De prime abord, Motor psycho semble être un film d'exploitation de base. Des motos, du sexe et de la violence, voilà ce qu'il semble nous promettre. Le tout tourné avec un budget des plus modeste...
le 22 août 2012
Continuons de découvrir le cinéma singulier de Russ Meyer avec Motor Psycho, film également déjanté et décalé où trois hommes sèment viol et mort sur leur passage, jusqu'à ce qu'un vétérinaire et la...
le 3 juil. 2015
Dans ce motorpsycho les poitrines sont opulentes mais pas de nudités ici, tout est suggéré. Meyer est un maitre de la suggestion c'est ainsi qu'il passe d'une scène dans laquelle la femme d'un...
le 25 août 2019
Je poursuis mon exploration des réalisateurs de films d'exploitation avec Russ Meyer que j'avais laissé avec Beyond the valley of dolls, film baroque, grandiloquent et fascinant. Motor Psycho le...
le 2 août 2025
Je m'attendais à juste un série b un peu bête et méchant, avec toutes les aberrations parfois propre au genre (hypersexualisation du corps de la femme etc etc etc) .. tu sais le genre de films un peu...
le 12 sept. 2017
Un peu déçu par ce Russ Meyer. L'idée de base est bonne, la structure est bonne, les situations sont bonnes. Mais c'est un peu mou et ce malgré la présence de conflits et d'enjeux. C'est-à-dire...
le 13 juin 2013
A quoi le reconnaît-on ? Aux grosses poitrines ! L'homme ne jure que par ça, et il leur fait une nouvelle fois la part belle ! Néanmoins, là où "Faster, Pussycat, Kill ! Kill !" m'avait séduit, je...
le 26 juil. 2022
Je crache rarement sur les vieux films, trop conscient·e qu’il est parfois difficile de remettre les choses dans leur contexte. Ici, je fais exception : mis à part le fait (important) que les...
le 22 déc. 2018
Du Russ Meyer en noir et blanc et d'avant la tombée du code Hays, c’est-à-dire que si les femmes ont toutes des poitrines opulentes et que les décolletés sont vertigineux, il n'y a aucune scène de...
le 3 mars 2013
Russ Meyer, le réalisateur qui fais un film dont les principales qualités sont les filles à grosses poitrines. C'est toujours le cas ici, mais avec le scénario en plus. J'ai bien aimé l'idée que cela...
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