[…] Trop concentré sur les courbes des ses voitures, et pas forcément à tort, Soi Cheang oublie malheureusement de traiter avec la même sensibilité ses personnages. On se retrouve ainsi avec un film à double teinte, dont les défauts plombent considérablement ses prouesses et idées mémorables.
noirjouvence
6
Écrit par

Créée

le 16 sept. 2012

Critique lue 376 fois

1 j'aime

noirjouvence

Écrit par

Critique lue 376 fois

1

D'autres avis sur Motorway

Motorway
RitchMitch
9

Courez-y, ou roulez, mais allez le voir !

Le film est une course-poursuite automobile entre un jeune officier de police et un fugitif ultra doué pour la conduite qui vient libérer une de ses connaissances. La jeune recrue va aller jusqu’au...

le 10 sept. 2012

3 j'aime

Motorway
RENGER
4

Les fans de courses automobiles devraient trouver leur bonheur...

Avec un casting aussi réussit que celui-ci (Johnnie To à la production par le biais de Milkyway Image, Anthony Wong, Shawn Yue & Xiaodong Guo à la distribution), Motorway (2012) méritait que l’on...

le 25 sept. 2012

2 j'aime

Motorway
Incertitudes
7

Critique de Motorway par Incertitudes

A ceux qui sont allergiques à la beauferie des Fast and Furious, je conseillerai Motorway. Il n'y a pas la démesure présente dans la saga emmenée par Vin Diesel où s'étalent pendant plus de deux...

le 3 mai 2020

1 j'aime

Du même critique

Spring Breakers
noirjouvence
8

Critique de Spring Breakers par noirjouvence

Mis en avant comme nouveau film de la génération Y, à l'instar de Projet X l'année passée, le long métrage d'Harmony Korine, Spring Breakers, s'avère au final aller bien plus loin que cette idée...

le 6 mars 2013

4 j'aime

Blue Ruin
noirjouvence
7

Critique de Blue Ruin par noirjouvence

Chaque année, Deauville a le droit à un ou deux ovnis qui ne semblent pas avoir leur place dans la compétition officielle. Non pas que les films soient mauvais, mais plutôt proposés à un public...

le 6 sept. 2013

3 j'aime

Cogan : Killing Them Softly
noirjouvence
8

Critique de Cogan : Killing Them Softly par noirjouvence

Avec L’Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford, Andrew Dominik est passé soudainement sur le devant de la scène, réalisant l’un des plus beau chefs d’oeuvre de la décennie sur un genre...

le 6 déc. 2012

2 j'aime