Prendre de la distance c’est s’octroyer l’apanage de la dialectique contre le nivellement pornographique, spectacliste de la télévision. Donc l’eros est ce qui entame, reconfigure en le dépliant, crée schisme par l’analyse; projettés télévisuels, ce sont des corps astreints à leur propre usination libidibinale. Dialectique travail et désir, comme producteur arraché à la production intersubjective, sociale mais vouant nos élans à la force travail; la dialectique permet ici de saisir ce que le télévisuel fait au désir, il reconfigure, aménage, autorise perpétuellement le désir d’être un producteur. Retour à la double fictionalisation; c’est à dire comment du réel qui se saisit d’une fiction par son enregistrement, la seconde fiction se fait de son vérisme, prétention. À apparaitre vrai. Cinema est Eros - Television Thanatos; éducation - assujettissement - ce que la polysémie de reproduction porte ici et avant tout déplie - Corps et abstraction; le sexe comme pratique exégétique et l’absence de l’examen par la vérité qu’exhortent les corps. Pragmatiques et enrégimentés dans la raison, les relations sexuels s’étiolent, le vitalisme claudique et les stases deviennent pornographique (dévoiement productif, programme et saisie du désir pour une reproducition massive, représentation lissé d’un mode opératoire violent). Oppressions