La belle et les bêtes
Okja est un conte : à partir du moment où l’on accepte ce présupposé, on peut être en mesure de l’apprécier. Après une ouverture assez ébouriffante calquée sur un clip marketing adepte du Green...
le 22 mai 2017
119 j'aime
11
Voir le film
On le sait depuis au moins un mois et sa présentation cannoise, Okja, le nouveau film du cinéaste coréen Bong Joon-ho (Memories of murder, The Host, Le Transperceneige) est co-produit par le géant américain de la SVOD Netflix, avec Plan B, la société fondée par Brad Pitt. Sans contexte l’un des films les plus excitants et les plus attendus du moment, avec Tilda Swinton, Jake Gyllenhaal et Paul Dano, et Darius Khondji à la lumière. Alors, Netflix allait-il avoir raison de Bong Joon-ho ou non ? Verdict : force est de reconnaître, qu’au-delà du débat que son mode de diffusion soulève en France, Netflix semble avoir laissé mains libres au cinéaste. Qui s’affirme là en digne héritier de Steven Spielberg.
Retrouvez l'intégralité de ma critique sur Cineblogywood : http://blogywoodland.blogspot.fr/2017/06/okja-bong-joon-ho-lheritier-de-steven.html
Créée
le 4 juil. 2017
Critique lue 246 fois
D'autres avis sur Okja
Okja est un conte : à partir du moment où l’on accepte ce présupposé, on peut être en mesure de l’apprécier. Après une ouverture assez ébouriffante calquée sur un clip marketing adepte du Green...
le 22 mai 2017
119 j'aime
11
Je l'ai attendu hier ! Pour m'occuper l'après-midi en attendant que Netflix daigne le mettre en ligne, j'avais donc l'embarras du choix: poursuivre ma lecture du moment, à savoir The Man in The...
Par
le 29 juin 2017
87 j'aime
18
Okja n’est pas un film de SF, ce n’est pas une dystopie sympathique, c’est notre futur proche si rien ne change. La polémique ridicule accompagnant le film au festival de Cannes aura au moins eu un...
Par
le 29 juin 2017
78 j'aime
5
Du même critique
Trois gars, une fille. Sur un scénario de Steve Tesich, Georgia est une fresque sur l'Amérique de l'après-guerre jusqu'au début des années 70. Amitiés, confit idéologiques, amours contrariées, temps...
Par
le 20 juil. 2017
3 j'aime
Véritable rareté jamais éditée en DVD et BR. Une fable politique et dépressive, totalement singulière dans l'oeuvre de John Boorman. Pour autant, tous ses thèmes y sont - l'obsession du regard,...
Par
le 20 juin 2017
2 j'aime
Ah, Donnatienne....! La plus belle composition de Delon des 80's, dans le rôle d'un garagiste à la dérive, amoureux fou de Nathalie Baye. Dialogues au cordeau, seconds rôles comme on n'en fait plus...
Par
le 4 août 2010
2 j'aime