Ok, Alger fut un tres beau cadre pour ce film tant du point de vue des paysage que de ces habitant.es (je ne connais pas personnellement).Il y a de jolies plan par moment.
Ok encore, la premieres scene d'action du film (sur les deux) est bien mené, efficace, j aurais bien dis original, mais on dirait le trailer de 2017 de PUBG.
Efficace de par ça mise en scene, ces ruelle, son rytme ainsi que ces acteur et figurant.
La seul chose qui la ternie, c'est la presence de nos deux "Parrain du crime organisé" qui ce teleporte littéralement de balcon en toit puis en rue et reussissent toujour a garder un oeil sur un sac de coke alors que Justement ; toute la mise en scene precedente dans ces passe passe de main en main, c est poignardage furtif dans ces rue etroite nous font bien comprendre que ces tout simplement impossible.
Il n'empeche que la sequence fonctionne tout de meme bien et reussi a nous immergé dans le film.
Ah ce moment du mettrage on commence a retrouvé un petit espoire, certe Benoi Magimel nous a deja irité, tandis que Reda Kateb est plus dans la retenu les dix premiers minute.
Ok, encore, et pour la derniere foi :
Meriem Amiare joue bien.
Et son personnage est le mieux ecrit.
Et ça ce vois, car c'est également la seul des trois qui sort ces replique de façon credible. Les autre personnage rencontré qui ne font pas partie de ce trio son des roles un peu trop fonctionnel (pour ne pas dire serviable...)
pour que l'on puisse vraiment juger de leur prestation je pense (hors mi le patron de l'usine que j'ai trouvé dans le ton également).
C'est comme si notre real, Elias Belkeddar, etais plus aleze pour geré des centaine de figurant algerien et faire virvolter ça camera dans les quartiers et les ruelle que pour dirigé Reda Kateb et surtout Benois Magimel.
Benois Magimel qui n as pourtant pas toujours été aussi hors sujet ces 10.. ces 20.. ok disons c est 30 dernière année.
Ce coup ci il ne joue pas, il caricature.
On a un Reda qui dit a son pote ce comportent comme le dernier colons "didons tu t en sort bien ici" quand notre Benoit dis deux mots en arabe pour commander un thé et en fait des caisse..
Et c est typiquement ce genre de malaise que le film va clairement provoquer de façon rapetee : (pele mel : scene des camera et commentair au micro, discour du reve américain managierial envers la bande gosse, coup de pression dans la boite de nuit et encore bien d'autre qui feront la joi des petits et des grands)
Les pseudo coup de sang de nos "dealer de haute volé" sont tres souvent d'un ridicule affligant.
C est a ce demender comment ont il survecu jusque la.
Meme Reda n'y est pas du tout au moin une foix sur deux...
Nos deux protagoniste n'ont aucun charisme, aucune prestence, aucun esprit ou soupson d'inteligence. Pas de tchatch, d'eloquence, de talent particulier..
Pauvre chouchou c est exilés en algerie pour vesqui 20 piges en france. Forcé de ce terré dans ça villa avec ces algeriens pas foutu de lui finir ça piscine.
Comment s attaché a de telle personage ?
De plus leur alchimie est synthétique.
Il font des trucs de "potes dur a cuire" sont tout le temp ensemble, mais ne FONT rien ensemble. Aucune scene montrant leur complementarité, leur habitude de bosser ensemble ou de simple dialogue de leur vie passé qui ne serait pas expliquer mais qui refleterais un vrais complicité et un réel passé commun.
Une embrouille par example ou bien justement une embrouille vite desamorcé montrant que les deux ce connaissent et save que sur tel point ils ne seront jamais d'accord.
Benois dans ce role la jou exactement comme :
ce pote blanc (et je suis blanc) qui ce prend pour un arabe ou pour Montana dans une bande de pote (deux grand classique..), qui en fait des tonne et braille de ça voix aigue plus fort que les autre dans les embrouilles en ce ridiculisant sans cesse soiré apres soiré.
Une coquille vide qui ce la jou en somme.
Mais de la part d'un acteur d'expérience on peu s attendre a un peu plus que de notre "pote qui fait son chaud".
Et bien non, notre Benois la jou telle quelle.
Une caricature de caricature, aussi crédible dans le "grands banditisme" que moi dans l'orthographe.
Nous voila donc a suivre le "plus belle la vie" de nos deux "Gros dur" champion olympique de la beaufitude dans leur atitude, leur coup de pression minable, leur costume, leur probleme de picsine, de coke, d'alcool, de reflexe de domination et compexe de supériorité envers la gentes feminine.
Envers les natif algerien.nes également, comme dis plus haut on, retrouve des reflexe coloniaux il me semble.
Aucun alegrien.nes natif mis a part Samia ( Meriem Amiare, qui est le trophée voulut par Reda kateb) n'as de reél importance.
Des serviteur tout au plus.
Peut etre une production pas tres a l'ecoute qui sait.
La bande des gosse du quartier font exeption il est vrais, mais c est leur cohésion en temp que "bande de gosse" qui est mis a l'honneur et qui fonctionne mais aucunement leur jeux propre.
Alors que la camera S'attarde et S'attarde encore, sur les scene de picole et de foncdé de nos Lorel et Hardi du guetto.
1h40 pour 30mn de trop minimum.
C'est deux mec qui s'emmerde dans leur pathétique existence friqué et insensé, alors on est tenu de faire chier avec eux.
Et pourtant il y a de l'idée, ça donnerais presque envie de remonter ce film et d'en faire deux court metrage ou deux long quite a les retaffé :
Le premier sérieux sur Alger, ces habitant, ces quartier.
Et le seconds comme une parodie des film de gangstere a la française façon starship troopers en gardan ce duo d acteur.
Je verrais ces deux projet réarengé avec les meme acteur et meme réal de deux heure chacun avec un grand plaisire.
Mais ce que l'on a la est bien decevant.
Rien de grave.
Il me semble que c est juste du ciné pas inspiré ce coup ci, ce qui ne veut pas dire que ce sera pareil la prochaine foi pour touts ces gens souvent talentueux par ailleurs.
Je m en vais me remater "un prophète", retrouver beaucoup de plaisire filmique dans la presta de Reda Kateb.
Et Enemie intime pour Magimel.
.