le 11 juin 2021
Hyperdrame sans tristesse
Pour son seul long-métrage, Hollander propose de l'émotif assuré : meurtres, traumas, mamans attentionnées, handicaps… le film est bardé de tout ce qu'il lui faut pour remplir sa promesse : il ne...
SensCritique a changé. On vous dit tout ici.
Pour son seul long-métrage, Hollander propose de l'émotif assuré : meurtres, traumas, mamans attentionnées, handicaps… le film est bardé de tout ce qu'il lui faut pour remplir sa promesse : il ne s'agit pas de la perte ou du deuil, nous dit-il, mais de l'attente d'une personne qui ne reviendra pas.
Heureusement d'ailleurs que la voix off est là pour le préciser, car Personal Effects mise beaucoup sur son plot twist de fin, censé nous montrer que, même averti, on ne pouvait pas savoir de quoi il allait parler. En-dehors de ça, on n'a pas vraiment l'impression de trouver ce « quelque chose de plus » qui expliquerait de manière satisfaisante comment la vie de trois personnes va changer radicalement. Il n'y pas l'alchimie un peu miraculeuse qu'on nous annonçait pour justifier des liens forts et tumultueux servant à la reconstruction des êtres humains après des expériences trop fortes.
Vide de mélancolie, le film provoque plus d'apitoiement que d'attendrissement, cherchant à nous soulager, par quelques craquages modestes et un peu de défoulement sportif, d'un trop-plein émotionnel qu'il omet de provoquer d'abord. C'est ballot.
Créée
le 11 juin 2021
Critique lue 508 fois
le 11 juin 2021
Pour son seul long-métrage, Hollander propose de l'émotif assuré : meurtres, traumas, mamans attentionnées, handicaps… le film est bardé de tout ce qu'il lui faut pour remplir sa promesse : il ne...
le 26 oct. 2018
Quand on m’a contacté pour me proposer de voir le film en avant-première, je suis parti avec de gros préjugés : je ne suis pas un grand fan du cinéma japonais, et encore moins de films d’horreur. En...
le 16 juil. 2018
(Pour un maximum d'éléments de contexte, voyez ma critique du premier tome.) Liu Cixin signe une ouverture qui a du mal à renouer avec son style, ce qui est le premier signe avant-coureur d'une...
le 31 oct. 2019
Avec ses trois titres ”internationaux”, le premier film non soviétique de Mikhalkov est franco-russe, étant préparé, scénarisé, monté et produit par des Français. On connaissait le réalisateur pour...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique