La dualité
« Le Vésuve fabrique tous les nuages du monde » – phrase conductrice et inauguratrice.Elle résume et nous empiètrent tout au long du film, cristallisant la dualité de la vie.« Un est tout et tout est...
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il y a 2 jours
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« Le Vésuve fabrique tous les nuages du monde » – phrase conductrice et inauguratrice.
Elle résume et nous empiètrent tout au long du film, cristallisant la dualité de la vie.
« Un est tout et tout est Un » – si tous les nuages du monde sont fabriqués par le Vésuve, alors ils le fabrique également dans le sens où : il recouvre, ensevelit, effraie, domine, écrase, tue, tel un monstre latent, à la fois chimère du mal et initiateur du bien. Il rassemble, fascine, protège, inspire, intrigue...
On observe toutes les ramifications de ce volcan à travers les âges, les lieux, les ambiances, les populations, les métiers…
Les images sont belles, douces, lentes, soporifiques, à l’image du son et de l’ambiance générale.
La lenteur et la facilité des plans nous font penser à un enchaînement de photographies ; on pourrait s’endormir au milieu du film et se réveiller 45 minutes plus tard sans que l’atmosphère ne change.
Un court‑métrage étendu en film de deux heures, bien plus soporifique qu’innovateur et bien plus innovateur qu’inspirant.
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il y a 2 jours
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« Le Vésuve fabrique tous les nuages du monde » – phrase conductrice et inauguratrice.Elle résume et nous empiètrent tout au long du film, cristallisant la dualité de la vie.« Un est tout et tout est...
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il y a 2 jours
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Un objet cinématographique non identifié. Image et lumière bien travaillées mais un goût fade finalement.J’ai hâte de lire vos critiques ! En attendant je tente une note sans conviction…
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il y a 1 jour
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