Pppppp..pppponty....pppppp...nnnaaaaavvvvett...NAVET.
Si le sosie du docteur house avait établi un bon diagnostic en lisant le scénario, il n'aurait sans doute pas foutu les pieds dans cette piscine pleine de merde. Ou alors il a lui même été pollué par les mots du script qui l'ont poussé à se jeter gueule la premiére dans les limbes de ce gachis chronophage et laxatif.
On cite Barthes comme ça on a notre caution pour déverser un torent de conneries et pour justifier toutes les inepties d'un script rédigé avec un clou un dans l'oeil, la main dans un étau, une paille planté dans l'urêtre, le tête collé à un cul de pingouin.
Pis aussi pour faire des économies hein...on suggère tout parce que c'est comme ça qu'on fait pour faire peur il a dit mad movies. Et qu'accessoirement on a mis tout le pognon dans le casting huit étoiles avec un docteur qui semble s'être planté de plateau (les séries AB1 c'est chez dorothée que ça s'passe le mongolien..) et une connasse qui se jette frénétiquement sur du plexiglas (et personne ne rit parce que c'est grave...mais meeeeeeeeeeerrrrde arracher moi le sphincteeeeeeer)
Merci film de faire vivre ma critique.
Jack lang l'avait dit pourtant: "Pontypool c'est une rosée du matin dont l'odeur et la couleur rappelle étrangement la merde."