Eastwood ou le dieu de la mort
En effet; clint arrive dans ce charmant petit village Mexicain, plein de vie et de règlements de compte. Il en repart, le village vidé de sa population pour le bonheur des deux derniers habitants ( connu du public ), soit le tavernier et le croque mort.
Une scène finale plutôt bien orchestrée ou le futur plus grand tireur ( du moins le plus connu ), fait son entrée dans le monde des grands par la grande porte. Dans celle-ci il mène par le bout du fusil son ennemi-comparse-employeur-pigeon, " l'obligeant " à lui tirer dans le coeur. Ramon, merde, tire lui dans la tête.
Le tout sous une bande originale parfaite, les débuts de Sergio Leone dans le western sont plutôt très bien réussi.
Il me reste plus qu'à revoir la suite.