Cinq ans après I, Robot, le cinéaste Alex Proyas (The Crow, Gods of Egypt) signe l'écriture et la mise en scène de ce thriller apocalyptique et mélodramatique au budget de 50 millions de dollars. La star Nicolas Cage (Rusty James, Mandy) en veuf alcoolique, professeur d'astronomie du M.I.T se lance dans une course effrénée contre la montre afin d'éviter un cataclysme planétaire. Une cérémonie est organisée au cours de laquelle une capsule temporelle contenant des messages écrits par des enfants 50 ans auparavant est déterrée et ouverte. Chaque enfant emporte chez lui un message, mais celui du petit Caleb est illisible, car il s’agit d’une suite incohérente de chiffres. Son père découvre peu à peu que chaque séquence de chiffres correspond à la date exacte d’une catastrophe récente... Cage donne la réplique à la charmante mais hystérique Rose Byrne (Troie, Pierre Lapin) ainsi qu'à Ben Mendelsohn (Mr Quigley l'Australien, Ready Player One), Chandler Canterbury (L'Étrange Histoire de Benjamin Button, Les Âmes vagabondes), Lara Robinson (Saved) et pour la première fois à l'écran Liam Hemsworth (Hunger Games, Independence Day : Resurgence).
Toi & moi ensemble pour toujours.
En 1959, la jeune Lucinda Embry gagne au concours de la meilleure idée pour la fête de l'école : il s'agit d'enterrer une capsule temporelle qui contient des dessins d'élèves illustrant leur époque, à l'attention des générations futures. Cinquante ans plus tard, ce même établissement procède à l'ouverture en grande pompe de ladite capsule. Chaque écolier reçoit ainsi un témoignage du passé. Le petit Caleb Koestler, lui, est dérouté par le sien qui se résume à une suite incohérente de chiffres. Intrigué, son père, John, astrophysicien, découvre peu à peu que chaque séquence de nombres correspond à une catastrophe survenue ces cinquante dernières années. Trois tragédies restent encore à venir...
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Un Blockbuster de science-fiction au joli succès mondial à plus de 183 millions de dollars qui démarre par un excellent prégénérique en 1959 et une première partie tout aussi intéressante semant ses petits cailloux noirs avec les deux séquences impressionnantes à la Destination finale, le crash aérien & le métro. Prédictions retombe ensuite comme un mauvais soufflé malgré de très bons effets spéciaux éclatants, Cage tient aussi le film sur ses épaules dans une conclusion poussive et biblique aux profondeurs abyssales du cliché, cousu de fil blanc et sans suspense fidèle aux films catastrophe avec son final apocalyptique sous la musique de la septième Symphonie de Beethoven et du compositeur Marco Beltrami sans oublier les hommes qui murmurent, Archanges extraterrestres qui mènent les enfants et les petits lapins jusqu'à l'Arbre de vie ! Houaaa !!! 33
EVERYONE ELSE