Le conte n'est pas bon.

Rester sous la couette par un jour de maladie un jeune garçon va avoir la visite de son grand père venu lui lire une histoire. Quoi de mieux que de se faire faire cajoler les jours de maladie quand on est petit? Le film partait pourtant bien, il donnait l’espérance d’être l’égal de ces instants rester clouer au lit avec une maladie infantile. Dans un premier temps on est heureux de rater l'école, puis finalement la journée se transforme en des instants durant lesquels on ne sait pas bien quoi faire si ce n'est s'ennuyer. Princess bride mélange l'humour et l’aventure dans une espèce de parodie du genre cape et d'épée. Je dois bien avouer qu'au fil des minutes qui s’écoulaient avoir vu s’évanouir la promesse faite par le grand père du petit garçon. Elle m'a quittée tout comme l’intérêt pour toute cette histoire d'amour entre une princesse et un palefrenier. On voit bien qu'il y a une volonté d’être amusant derrière tout ça, mais bon ça ne marche pas ou bien trop peu, c'est très peu drôle ni très plaisant. Et la musique est effroyablement mauvaise, c'est une vraie horreur. Un truc typiquement années 80, celle-ci est signée par Mark Knopfler, ouais le mec de Dire Straits, je ne savais même pas qu'il avait écrit des bandes original de films, cette (mauvaise) musique est bien trop présente. Pour ce qui est des images de Rob Reiner elles ne sont pas très belles, on est encore dans les années 80. Il est regrettable de voir les décors naturels aussi mal mis en valeur. Princess Bride voudrait être épique, amusant et divertissant, il n'est rien de tout cela, au lieu de passer un moment enchanteur comme ça devrait être le cas, le film s'est transformer en un long moment d'ennui.