3 ou 4 puits en feu, à l'arrière plan. Un homme petit comme une fourmi au pied de deux derricks en bois court, peut-être affolé. Les fumées des puits en feu montent en cheminées, remplissent le fond du cadre : une est noire, enguirlandée du blanc des flammes, les autres plutôt grises. L'impression est proche de celle d'un décor, la pellicule un peu endommagée encore, peut-être abîmée déjà par les vapeurs ou la chaleur dégagée. C'est un plan d'actualité, mais qui semble avoir été vu un an après sinon plus. Le spectaculaire ne pressait pas.
Créée
le 1 nov. 2015
Critique lue 146 fois
2 j'aime
Du même critique
Revu récemment le 6 juillet 2011 sur écran d'ordinateur mais surtout le 18 et le 20 mai 2014, en salle. Toute la grandeur du film ne m'est apparue d'ailleurs que sur grand écran... en projection...
Par
le 12 sept. 2015
12 j'aime
Film masculin au possible, proche de la grossièreté souvent et pourtant porté par la grâce du jeu... Cavalier réussit un pari unique, celui d'une collaboration étroite avec ses acteurs qui, si mes...
Par
le 2 oct. 2015
11 j'aime
La vraie comédie est-elle évangélique ? C'est ce que semble prouver (ou vouloir montrer) le Fils de Joseph. En quoi ? En résistant à l'appel du meurtre, du règlement de compte. Comment ? Au lieu de...
Par
le 8 mars 2016
10 j'aime
1
