Ce film s'adresse aux gens qui s'intéressent à la musculation et/ou sont fans de Schwarzenegger et doit évidemment être critiqué dans ce cadre. On découvre le milieu du culturisme des années 70 et le personnage qu'est le jeune Arnold. Certains éléments m'ont marqués : les culturistes voient leur corps comme une sorte de sculpture vivante. Ils sont à la recherche d'un certain idéal corporel, comme les sculpteurs de la Grèce antique. Autre scène marquante : le stoïcisme recherché dans le but de se surpasser. Arnold Schwarzenegger explique comment, pour être le meilleur, il cherche à prendre autant de distance possible avec ses problèmes quotidiens, et jusqu'où cela peut aller.
gio
7
Écrit par

Créée

le 15 mai 2013

Critique lue 486 fois

1 j'aime

gio

Écrit par

Critique lue 486 fois

1

D'autres avis sur Pumping Iron - Arnold le Magnifique

Pumping Iron - Arnold le Magnifique
Gand-Alf
7

King Arnold.

En 1975, Arnold Schwarzenegger n'est pas encore la star du cinéma d'action que l'on connait. Hormis le haut de l'affiche du lamentable Hercule à New-York (qu'il préférerai oublier) et des petits...

le 7 avr. 2015

21 j'aime

6

Pumping Iron - Arnold le Magnifique
Bagatelles
7

Regarder des mecs musclés se mater leur gros muscle toute la journée en poussant des cries, c'est qu

Ah c'est de l'art la musculation ! Beau ! Beau ! Ca s'approche du monde des culturistes mais au final, c'est bien Schwarzy qui crève l'écran. Il est pas con. Il sait ce qu'il veut. Veut être jésus...

le 12 déc. 2010

4 j'aime

Du même critique

The Red Pill
gio
8

Invitation à la réflexion critique

Les documentaires honnêtes se font de plus en plus rares. Aujourd'hui, seuls sont promus les films qui caressent le public dans le sens du poil, qui vont dans le sens de ce que la majorité pense...

Par

le 2 oct. 2017

36 j'aime

5

L'Empire du moindre mal
gio
1

Philosophe français. Pensée light. Zéro calorie.

Jean-Claude Michéa est un produit typiquement franchouille. Il n'y a que dans notre nation éternelle qu'un individu qui concocte une telle tambouille de concepts peut atteindre une telle...

Par

le 9 mai 2015

36 j'aime

36

Bowling for Columbine
gio
3

Plus c'est gros, plus ça passe.

Si mes souvenirs sont bons, c'est avec Bowling for Columbine, au début des années 2000, que j'ai découvert Michael Moore. Du moins est-ce le premier film que j'ai vu de lui. J'avais alors seize ou...

Par

le 12 oct. 2015

35 j'aime

21